Un coup vite fait avec un inconnu


C'est partie pour mon récit tabou. Je suis en vacances à Marseille et, dans un parc, j'ai rencontré Enzo, un avocat intelligent et sexy qui ne cesse de me regarder depuis son poste, sous le feuillage épais d'un saule. Je souris et il répond à mes gestes d'approbation avec des clins d'œil qui me rendent folle. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je suis sur le point de perdre le contrôle et de m'approcher de lui. Ça y est : le déclic entre nous a été immédiat et, une chose en entraînant une autre, il m'invite finalement à l'accompagner dans son appartement pour boire un verre. Je dis oui tout de suite et je ne le prends pas pour un mec en manque car, comme tous les hommes, il a été un peu impatient, c'est tout.

Il me propose d'y aller dans ma voiture car il n'en a pas et pour la première fois de ma vie j'ai l'impression d'avoir rencontré quelqu'un d'honnête car il aurait pu mentir et me dire que sa voiture était en panne. Tout cela m'excite énormément. Le voyage se passe sans rien de remarquable car on ne parle que d'affaires et de boulot. Je suis nerveuse et je parle vite afin de masquer mon excitation de plus en plus intense. Le temps passe vite et je me suis retrouvée dans son appartement et dans son lit (d'habitude j'attends, mais là, je repars demain et je ne pouvais pas résister à la tentation). Je mouille comme une dingue et je regrette qu'il soit timide et qu'il ait la main un peu lourde au début. Je suis couchée sur le dos et il est agenouillé sur le lit, en train de me masser la vulve, il fait des gaffes et ne parvient pas à toucher les bonnes parties, celles qui me font capoter et grimper au mur.

Pourtant il y a quelque chose chez-lui qui m'excite au dessus de ces petites erreurs. Peu à peu, je parviens à lui faire comprendre mes besoins de base pour m'exciter et il commence à les satisfaire avec une main de maître. Il avait besoin d'un temps pour s'habituer aux petits secrets de mon corps. Je le prie de me lécher et sa langue tourbillonne sur mon clito, avec une si grande vitesse que je me sens transportée vers le royaume de la jouissance, dans les nuages, tout près du septième ciel. Mes petits seins sont durs comme deux pierres à cause de l'excitation et je n'ai pas le temps d'atteindre l'orgasme car il me prend dans ses bras, et, avec une force herculéenne, me met en levrette pour me pénétrer, d'abord doucement, et puis de plus en plus vite jusqu'à ce que les bruits de nos sexes (mis brutalement en contact) retentissent dans les murs de la chambre. Je ne peux pas le regarder mais j'ai l'impression qu'il est hors de soi et les petits cris qu'il pousse augmentent mon ardeur.

Je mouille comme jamais avant et son sexe glisse si profondément dans le mien qu'il parvient à détoner tous les points érogènes de mon vagin. Je me laisse envahir par ce plaisir incroyable et j'ai failli m'évanouir à plusieurs reprises. Je ne me reconnais plus moi-même, en train de tirer un coup vite fait avec un parfait inconnu mais dans le fond, je sais qu'il est bien plus que ça : il est quelqu'un qui m'a séduite et voilà sa récompense. Dans un moment donné, Enzo ne peut plus se retenir et il jouit, en hurlant, ce que je trouve génial car son absence d'inhibition renforce ma chaleur. Je suis tellement excitée qu'il a suffi qu'il me touche peut-être trente secondes à peine pour jouir aussi. Après ces ébats incroyables, on a somnolé un peu, confortablement enlacés.

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