Gros fantasme uro assouvi
Alors je vais vous raconter une histoire tabou que je garde pour moi depuis des années. Ça na jamais été très facile pour moi de mépanouir avec une femme. La raison en est simple. Pour avoir un maximum de plaisir, jai besoin de faire quelque chose dassez tabou, quelque chose qui nest pas très bien accepté par les gens en général. Jaime parler de champagne. Ça donne un aspect noble à la chose, plutôt que de parler de pisse ou durologie. Et comme je suis un garçon honnête, je nai jamais osé me soulager sur une fille sans la prévenir, sans lui demander son avis. Résultat, jai eu bien des relations sexuelles, mais rarement plusieurs fois avec la même fille. Il a chaque fois suffi que je lui demande, après une partie de baise peu satisfaisante pour moi, si elle ne serait pas daccord que nous brisions un petit tabou qui mest cher et dexpliquer celui-ci, pour que les demoiselles senfuient ou me signifient sèchement leur refus.
Désespéré, jai fini par conclure quil ne me restait plus quà payer pour pouvoir réaliser mon fantasme. Je me rendis donc dans le quartier des putes de Bruxelles, mais ma timidité mempêcha carrément de demander à une fille joie si elle acceptait luro. Jai eu peur de passer pour un pervers et rentrai chez moi tout penaud. Je trouvai la solution en feuilletant des magazines de petites annonces. Dans la rubrique de charme, il y avait quelques adresses internet de masseuses et descort girls. Il sagissait en fait de putes, évidemment. Mais ce quil y avait dintéressant, cest que certaines mentionnaient les pratiques quelles acceptaient et, miracle, je retrouvai les mentions de champagne et durologie sur les pages web de certaines. Il ne me restait plus quà téléphoner à celle de mon choix.
Joptai pour une certaine Sarah. Elle travaillait dans un salon avec dautres filles et toutes acceptaient ce qui me tenait à cur. Et cest cette jeune brunette qui semblait la plus belle. Pendant que jy étais, autant prendre une fille canon. Le soir-même, je me rendis à ladresse indiquée qui se trouvait bel et bien dans le quartier chaud. En chemin, je fus abordé par un grand nombre de putes. Mais, évidemment, je déclinai leur invitation, non seulement parce quil est impoli de poser un lapin à une jeune femme, et surtout parce que jétais sûr que je pourrai lui faire subir une bonne douche.
Je fus accueilli à lentrée par une vieille habillée de façon très vulgaire. Lendroit était très kitsch, ça ne me plaisait pas trop. Heureusement, avant davoir eu le temps de dire ouf ou de changer davis, je me retrouvai en compagnie de Sarah qui me conduisit en souriant dans une chambre décorée avec un style plus sobre, ce qui eut pour effet de mapaiser. Elle mexpliqua rapidement les règles. Je ne devais pas lembrasser sur la bouche, par exemple. En revanche, elle névoqua pas la pisse, jespérais quelle navait pas oublié que cétait mon but principal. Je me rassurai en me remémorant que javais bel et bien précisé ce que je voulais faire lorsque javais appelé, et que cétait bien marqué sur leur site web.
Sous sa tenue simple, elle cachait des seins denfer et des cuisses parfaites. Elle portait des dessous rouges avec de la dentelle. Je me chargeai rapidement de les ôter. Jessayai de me faire passer pour un mec expérimenté en prenant bien mon temps, en lembrassant longuement dans le cou tout en faisant en sorte que mes caresses couvrent lensemble de son corps. Elle semblait aimer ça, mais je ne me faisais guère dillusions, ce genre de fille se faisait sauter en continu et ça devait la soûler, comme ça me soûlait de remplir de la paperasse de 8 heures à 17 heures chaque jour de la semaine.
Malgré cette pensée pas très agréable, je me repris rapidement. « Allons, me dis-je, tu vas enfin pouvoir . » Et cétait ça lessentiel. Jallais pouvoir inonder cette belle nana de mon urine, jallais pouvoir lâcher sur elle tout le contenu de ma grosse vessie, jallais la passer sous mon jet, des pieds jusquà la tête. Je me mis à bander comme un taureau, je ny tenais plus, jétais comme un gamin. Mes gestes se firent plus nerveux, moins délicats, plus rapides, moins patients. Après un long corps à corps, je la fis se coucher sur le dos. Je me levai sur le lit et hésitai quelques secondes. Elle avait compris et ne manifestait ni dégoût ni crainte. « Cest le moment, me dis-je. » Je saisis mon engin et visai le bas de son corps. Je me sentais comme un gamin qui joue au pompier au-dessus des chiottes. Pourtant je ne me sentis pas ridicule. Ce souvenir mamusa, au contraire.
Il me fallut attendre quelques longues secondes avant de pouvoir faire jaillir mon liquide jaune. Il fallait que je débande un minimum. Je sentis enfin ma pisse monter, je pris un air apaisé, pendant quelques millièmes de secondes, je vis flou et mes yeux faillirent se fermer. Je repris la maîtrise de mon regard pour viser les chevilles de Sarah. Elle avait soudain un air bizarre, mais il nétait plus question pour moi darrêter. Un jet puissant tomba sur elle. Puis, je le fis remonter le long de ses jambes. Elle sembla shabituer au contact du liquide chaud et se détendit.
Jarrivai à la hauteur de son bas-ventre. La pression commençait à décliner. Il me fallait faire vite et prendre des décisions. Jévitai lentrée de son vagin et prit la direction de son nombril. Je neus ensuite aucune pitié pour sa bonne poitrine qui, dans cette position, me paraissait énorme. Le jet se fit encore plus faible. En me déplaçant, je réussis juste à lui toucher le cou. Cétait fini, ça avait été merveilleux. Jétais dans un état dextase total.
Je me mis à genoux, épuisé. La jeune femme se redressa un peu et me demanda si ça avait été. Je lui répondis par laffirmative. Elle voulut savoir si je désirais encore quelque chose.
-Attends, que je reprenne mes esprits.
-Bien sûr, mon chou.
Elle nallait plus appeler mon chou dans un moment. Un long moment sécoula et je me sentis à nouveau dattaque.
-Alors ? insista-t-elle.
Je la fixai droit dans les yeux avant darticuler :
-Suce-moi !