Nuit de noces qui part en couille


Découvrez mon histoire de sodomie, c'est un plaisir pour moi. Maria et Alberto s'étaient rencontrés sur la Côte d'Azur, le lieu de villégiature par excellence. Tous deux y passent d'agréables vacances au bord de la mer, chacun de leur côté. Elle était Valence et lui de Saragosse. Ils avaient passé le reste de leur séjour ensemble et n'avaient cessé de se revoir une fois rentrés en Espagne, malgré la distance qui les séparait. Très vite, ils avaient décidé de se marier, et leurs amis les avaient aidés à tout organiser. La cérémonie avait eu lieu dans un petit village de la région de Valence et une grande fête avait suivi. Maria et Alberto nageaient dans le bonheur. Tout avait été très vite, mais ils étaient tous deux du genre à foncer.

Après la fête, Alberto entraîne Maria dans leur nouvelle maison à vive allure. Tous deux étaient très excités, par l'idée d'habiter enfin ensemble bien sûr, mais aussi par l'envie de s'envoyer en l'air. Ils avaient attendu ça toute la soirée et n'avaient cessé de se regarder dans les yeux. Dur de faire bonne figure avec tout ce monde qui voulait les féliciter et leur souhaiter plein de bonheur. Ils s'installèrent dans la chambre et se déshabillèrent rapidement, sans perdre la moindre seconde. Ils éteignirent la lumière et s'allongent l'un contre l'autre sous les draps. Alberto se mit à caresser celle qui était désormais sa femme. Mine de rien, ça lui faisait un peu bizarre. C'était la même nana, certes, mais c'était son épouse. Ces considérations lui firent perdre son énergie un petit moment. Maria semblait moins philosophe et prit l'initiative, puisque son jeune mari semblait avoir perdu son inspiration. Elle espérait que de toute manière, il allait se réveiller.

Elle l'embrassa et le laissa lui toucher les fesses et les seins. C'est bien, il s'était repris, ce pauvre Alberto. Alors très vite, elle se tourna sur le côté et il se serra contre elle en se demandant pourquoi elle lui montrait son dos. Il la prit dans ses bras et très vite, elle sentit sa bite devenir bien dure, au contact du bas de son dos. Alberto s'excita et la tira contre elle tant qu'il pouvait. Le moment était venu. Maria se tourna, fit son plus beau sourire et lui dit :

- Encule-moi !

Le jeune marié fut un peu surpris par cette demande. Il ne trouvait pas ça très romantique pour une lune de miel, mais ne voulut pas la décevoir et s'occupa avec attention de son petit cul. Il lui caressa la chatte et fit mine de la lécher avant de se porter finalement vers son anus. Le contact de la langue suffit pour que Maria se mette à exprimer des signes de plaisir. Qu'il était bon d'avoir un amant obéissant.

Alberto lui enfila un doigt dans le cul et entreprit d'élargir l'endroit dans lequel sa grosse queue d'homme du Sud allait bientôt plonger. Maria attendait avec patience tout en caressant la belle chevelure noire de son homme. Rapidement, il enfonça deux doigts puis trois dans l'orifice de Madame. Elle se réjouissait. Comme ça allait être bon !

Quand Alberto fut satisfait, il se releva, curieux de savoir dans quelle position sa femme voulait se faire prendre. Celle-ci se mit alors à quatre pattes et Alberto la sodomisa sans trop de problème. Il lui saisit les hanches et se colla à son cul bien ferme. Il se redressa pour faciliter la pénétration et la martela de coups de queue dans l'anus en essayant de guetter sa réaction.

Soudain, Maria le fit stopper, à sa grande surprise. Elle se mit sur le dos et l'invita à continuer ainsi. Rassuré, Alberto la saisit par le cul et la souleva pour pouvoir la prendre. Il tint quelques minutes ainsi. Pour l'aider, elle avait posé ses pieds sur le matelas et lui offrait son bassin qu'il labourait en soufflant. Alors qu'il sentait la sève monter et qu'il donnait de plus belles des coups de reins à sa belle, Alberto sentit la fatigue venir et posa délicatement Maria sur le matelas. Elle se mit de côté et finit de la sodomiser ainsi, avec une bonne fesse contre son pubis, une main sur son cul et une autre lui caressant la chatte.

Épuisé, le fougueux Espagnol se coucha, croyant en avoir fini. C'est là que Maria lui sauta dessus et se mit la bite à peine remise de ses efforts à la bouche. Elle se mit à la sucer avidement, le cul tourné vers le visage de Monsieur. Celui-ci entreprit de lui lécher la chatte pendant qu'elle faisait tourner sa langue autour de sa grosse queue. Finalement, il était ravi de cette première baise en tant que jeune marié. Le soixante-neuf l'excitait tout particulièrement. Il avait toujours adoré la chatte de sa femme, aux lèvres fines et aux poils pubiens soignés. En plus, elle avait un goût envoûtant dont se régalait notre ami. Il lécha et lécha tant qu'il put mais malgré tous ses efforts, son énergie et son plaisir, il lâcha sa sauce avant d'avoir pu faire jouir Maria. Elle avala et continua à lui délivrer des bisous sur les parties génitales pendant que lui la léchait toujours. Lorsqu'elle sentit monter le plaisir, elle lui enfonça ses ongles dans les cuisses - ce qui l'excita lui aussi – et elle hurla.

Tandis que tous deux reprennent leur souffle, Alberto se dit qu'ils avaient tout fait sauf baiser de façon traditionnelle et que ça n'allait pas. En bon Espagnol catholique, il devait assurer un minimum de cul bien chrétien lors de sa lune de miel, il allait du respect des anciens. Il s'allongea donc entre les cuisses de sa femme et se mit à la sauter de la façon la plus banale qui soit, sans que cela ne déplaise pour autant à l'un d'eux. L'éjaculation fut longue à venir et Alberto commença à suer. Mais surexcité, il réussit encore à prendre sa femme par derrière lorsqu'elle se fut allongée sur le dos. En ce qui les concernait, le mariage semblait donner des ailes. Restait à voir ce que ça allait devenir par la suite.

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