Plaisir asiatique anal
Il y a quelques années déjà, j'avais entrepris un voyage en Asie du Sud-est avec une bande de copains. On était quatre en tout, on s'était connu au lycée. Il y avait un Argentin, Diego, qui, paraît-il, maîtrise aussi bien la femme que Maradona le ballon de foot. René, lui, était le beau parleur du groupe, il voulait devenir avocat. Et enfin, Vladimir, un russe un peu fou, sa seule différence avec Obélix est qu'il était née dans de la vodka
Quant à moi, je m'appelle Dany, je suis plutôt réservé et je n'ai qu'une seule chose en tête, c'est de niquer.
On se trouvait donc à Bangkok, c'était notre première étape. On avait décidé de descendre le lendemain vers les îles au Sud du pays, c'est pourquoi nous ne voulions pas trop faire la fête ce soir-là. On est quand même allé se payer un petit festin dans un restaurant sympa. Fondue chinoise au menu et alcool à discrétion. La soirée fut très sympa, mais comme nous voulions partir de bonne heure, nous rentrâmes à l'hôtel. A l'entrée, on croisa une Thaïlandaise qui avait l'air d'avoir une trentaine d'année, voire un peu plus, une femme d'expérience
Enfin elle était plus âgée que nous qui n'avions pas plus de vingt ans pour la plupart. Elle était plutôt pas mal, elle avait des hanches larges, une poitrine voluptueuse pour une fille de la région, mais surtout elle avait une bouche qui ne peut en aucun cas vous faire du mal ! Elle nous proposa de venir s'asseoir avec elle et son ami pour boire quelques verres de whisky. Vu qu'il était encore assez tôt, on décida d'accepter sa proposition. Vladimir, comme toujours, profita pour aller chercher sa bouteille de vodka qu'il avait spécialement ramenée de Russie.
Elle s'appelait « O », comme « O mon dieu ! », elle disait. Elle venait du Sud de la Thaïlande et était à Bangkok pour les vacances. Son ami, lui, je ne me rappelle pas de son nom, mais il était en fait entraîneur de boxe thaï. Il entraînait des jeunes qui combattaient au Lumpini Stadium. Je discutai longuement avec lui au sujet de là boxe thaïe, il aurait voulu nous faire voir les entraînements le lendemain, mais nous ne pouvions pas. Pendant ce temps, René essayait de draguer la dame. Il ne fallait plus le déranger, quand il se met à parler à une fille, il oublie tout ce qui se passe autour et si tu l'arrêtes, tu te fais taper dessus.
Peu importe, d'ailleurs il se passait beaucoup de choses autour de lui, on a remarqué avec Vladimir et Diego qu'il y avait beaucoup de monde qui allait et partait de l'hôtel, un peu comme si c'était un hôtel de passes. O nous expliqua que c'était parce que c'était la Saint-Valentin. C'est à ce moment qu'on a commencé à parler un peu de cul avec elle. Elle nous dit qu'elle était célibataire, mais qu'elle n'était pas en manque parce qu'elle avait ses doigts
Et pour faire son intéressante, elle rajouta que de toute manière on était trop jeunes pour elle. C'est le genre de chose qui vous donne encore plus envie de vous occuper d'elle pour lui montrer qu'il y a bien des avantages à être encore jeune ! On avait déjà finit sa bouteille de whisky et la bouteille de vodka. Elle nous proposa d'aller acheter une autre bouteille de whisky et d'aller ensuite dans sa chambre.
Elle vivait seule dans sa chambre, il y avait un grand lit et une salle de bain. Alors que nous étions en train de préparer un cocktail à base de whisky et de différents sodas, elle s'éclipsa dans la salle de bain. Dix minutes plus tard, elle réapparut vêtue d'une chemise de nuit très légère. On ne fit pas très attention à cela, car nous étions tous un peu bourrés, mais je fus quand même un peu excité par ses formes que je pouvais maintenant mieux apprécier.
Diego, qui ne peut s'empêcher de fouiller, trouva sur une table des magazines de manga japonais. On les feuilleta un peu. C'était en fait des mangas de cul, je dirais même de lesbiennes. Elle nous arracha les magazines des mains et les cacha dans un tiroir. On se consola avec l'alcool. Sentant la fatigue venir, je m'étalai sur son lit les bras écarté tel Jésus sur sa croix. Peu après, je vis la dame s'approcher de moi et sauter sur le lit, elle se coucha dans le sens opposé du mien. Elle avait son cul juste à côté de ma tête et elle utilisait ma bite comme coussin. Surpris, je me mis à la caresser. En même temps j'essayais de relever sa robe de nuit pour rigoler et faire voir à mes camarades le corps de cette jolie femme. Impossible, chaque fois que je soulevais un peu son vêtement elle le redescendait aussitôt. J'entendis les autres discuter au sujet de celui qui aura le plaisir de la sauter ce soir.
René fut le premier à s'en aller, il disait qu'il ne voulait pas niquer quand il était bourré. Diego le suivit rapidement, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi. Il ne restait plus que Vladimir et moi. O nous dit qu'elle voulait se coucher et qu'on devait partir. Vladimir n'écoutait pas vraiment, il était à la fenêtre en train de fumer. Je lui répondis que j'avais aussi envie de dormir et que je voulais dormir avec elle. « D'accord, mais seulement dormir alors
» Me dit-elle d'un air timide.
On glissa tous deux sous les draps. Elle me tourna le dos et fit semblant de dormir. Je retirai tout mes habits me collai derrière elle et passa ma main sur ses seins. Je pouvais déjà sentir la forme de son cul contre mon sexe dur. Je repassai une main sur ses seins. « Juste dormir, j'ai dit !» Elle n'avait vraiment pas l'aire de croire ce qu'elle disait cette coquine. Je lui répondis : «Oui oui, mais je veux juste te faire un câlin pour te souhaiter bonne nuit. » « Ok juste un câlin. » Elle se retourna et en même temps elle retira sa robe de nuit. On s'embrassa et elle se blottit contre moi. Elle avait une peau très douce. Ses tétons étaient durs. Je pus sentir avec ma queue que sa chatte était rasée. Elle me serrait très fort contre elle pendant que je baladais mes mains sur son corps. La pression de son sexe contre le mien avait un effet terrible. Je la coucha alors sur le dos et écartai ses jambes. Elle prit mon sexe de ses mains expertes et l'enfila, sans que je ne puisse protester, dans sa chatte trempée.
Je l'enfonçai le plus profondément possible tout en lui mordant les tétons. Je sentais qu'elle n'avait qu'une envie, c'était que je la défonce fermement. J'entrepris alors un mouvement de va et viens rapide et ample. « Oh oui, vas-y plus fort s'il te plaît.» J'obéis. Après dix minutes de pénétration non-stop, elle s'enleva et descendit sa tête jusqu'à ma bite encore dure et qui en voulait plus. Elle la prit délicatement dans ses mains « Mon dieu, elle est trop grande, tu veux me tuer ! » Je ne comprenais pas vraiment ce qu'elle voulait dire par là. Je sais que je suis plutôt bien membré, mais tout de même, il ne faut pas exagérer. Elle répéta : « C'est beaucoup trop grand, tu veux me tuer.» Ensuite, elle approcha sa bouche de mon gland et le lécha goulûment. Elle mit ensuite mon gland dans sa bouche et je sentais qu'elle tournait autour avec sa langue à l'intérieure de sa bouche. Elle me caressait les couilles avec ses doigts. Soudain je vis qu'elle se redressa un peu et pencha la tête en avant. Elle avait toujours mon gland dans sa bouche. Elle prit fermement le reste de ma bite entre ses deux mains et l'enfonça dans sa bouche. Je sentais que je pénétrais gentiment dans sa gorge. Elle continua jusqu'à ce que mon sexe disparaisse complètement au fond de sa bouche. J'étais abasourdi par ce spectacle. En plus, je n'avais jamais sentis cette sensation si intense auparavant. Je pense que si je n'avais pas été autant bourré à ce moment j'aurais déjà éjaculé dans sa gorge.
Elle leva les yeux vers moi et me regarda dans les yeux, comme si elle vérifiait que ce qu'elle faisait me procurait un plaisir incontrôlable. Elle recommença trois fois la manuvre avant de me dire : « Encule-moi s'il te plaît. ». Elle se mit à quatre pattes à côté de moi. « Vas-y encule-moi s'il te plaît. » Je me positionnai derrière elle et essayai de viser son anus. C'était la première fois que j'allais sodomiser une fille. Je pensais que l'entrée dans l'anus était difficile, mais là ma bite entra comme dans du beurre. Normal, cette cochonne s'était déjà lubrifiée l'anus plus tôt. Sûrement au moment où elle était partie se changer. Elle n'arrêtait pas de répéter : « Allez, encule-moi ! Encule-moi ! » Je l'agrippai par les hanches et lui défonçai littéralement le cul. Les sensations que je pouvais avoir étaient cent fois plus intenses que dans une chatte. L'orifice est beaucoup plus serré. Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans son cul, mais au moins j'ai pu comprendre l'origine de son nom. Elle ne s'appelait pas O comme « Oh mon dieu ! » mais plutôt pour la forme de son anus !!! Je ne m'arrêtais pas de l'enculer. J'avais l'impression que son corps était en fait le prolongement de ma bite.
J'y allais tellement fort qu'on se retrouva appuyés contre le mur. Là, je sentis que j'allais bientôt éjaculer. Je lui pris les seins dans les mains et la tirai contre moi. Elle compris que j'allais finir : « Ejacule dans mon cul ! » Je la serrai très fort et larguai tout ma semence en elle. A ce moment, elle poussa un cri plus fort que les autres. J'étais épuisé. On s'écroula sur le lit. J'étais toujours dans son cul. Je la vis se tortiller et pousser des petits gémissements. Sans le vouloir je me suis aussitôt remis à bander. J'enfila ma queue au plus profond de son anus et la serrai contre moi. Elle pris ma main et la descendit jusqu'à sa chatte. Elle me guida sur son clitoris. On était les deux en train de lui caresser la chatte alors que je faisais des petits mouvements sec dans son cul. Elle se mit à respirer très fort. Toujours plus fort. Tout à coup, je sentis son corps se contracter entièrement. Elle m'agrippa les fesses et me tira contre elle pour me faire venir au plus profond de son cul, mais aussi pour que j'arrête de gigoter. Je jouis à nouveau dans son cul, mais cette fois avec un doigt dans sa chatte. Je me retirai, elle me regarda avec un grand sourire et me dit : « Tu dois aller te laver maintenant. » Je lui dis « Ok, mais dans ma chambre. » Je voulus retourner dans ma chambre, mais ce débile de René avait fermé la porte à clef et était beaucoup trop bourré pour m'ouvrir. Je pus quand même aller chez les deux autres. D'ailleurs, j'avais complètement oublié Vladimir ! Quand je suis parti de la chambre de O, il n'était plus là, mais je ne sais vraiment pas à qu'elle moment il est parti. Il n'a jamais vraiment voulu me le dire