Oula bantor petite suceuse bridée et cochonne


 Je vais vous raconter dans ce récit cochon ce qu'il m'est arrivé. Je devais sans doute être le plus jeune médecin du congrès international de la branche qui se déroulait cette année dans la capitale de la Mongolie. Le nom de ce pays évoquait pour moi des vastes plaines balayées par un vent glacé que bravaient des cavaliers descendant des hordes invincibles de Gengis Khan, celui que même les Chinois avaient craint. Ma vision devait forcément exister quelque part dans cette immense contrée, néanmoins quelle déception lorsque je découvris la ville dans laquelle nous allions résider durant deux semaines ! Jadis cité moderne équipée par le pouvoir stalinien, elle était maintenant à l'abandon. Les rues étaient désertes et extrêmement sales. Je priais pour que mon taxi ne s'arrête pas dans ces affreux quartiers que nous traversions. Celui-ci me laissa finalement un peu à l'écart du centre, dans une zone composée de quelques buildings séparés par des surfaces bétonnées et vides.

L'un de ces bâtiments à l'allure peu aguichante mais toutefois mon délabré que le reste de la ville était mon hôtel. L'intérieur était rétro et simple mais propre. Je précise que c'était l'établissement le plus cher de la ville. Des dizaines de confrères étaient déjà installés et buvaient des cocktails dans le hall principal. A première vue, il y avait surtout des hommes. Il ne fallait pas que j'oublie de le dire à ma femme lorsque je l'appellerais, ça allait la rassurer, jalouse comme elle est.

Ce fut chose faite rapidement. J'étais alors tranquille pour la soirée. J'eus au cours de celle-ci l'occasion de discuter avec des gens intéressants pendant le dîner. Mais ce qui me parût encore plus intéressant ne se trouvait pas à ma table, ni à une autre, mais plutôt entre les tables. Une armada de belles jeunes femmes s'était déployée pour nous servir. Peu d'entre elles avaient le type mongole. Je priai intérieurement que c'étaient des Chinoises. Je mourrais d'envie d'en avoir la confirmation et de pratiquer un peu les notions de chinois que j'avais, mais j'avais peur d'être ridicule devant mes prestigieux collègues et me contentai de « Thank you » durant le repas.

Je n'étais évidemment pas le seul à baver comme un imbécile devant ces nymphes orientales. C'était particulièrement le cas en ce qui concernait une tablée de médecins allemands qui, à mon avis, avaient hérité de la plus belle créature. J'étais jaloux et me décidai à la leur piquer. Après tout, ils étaient flasques, vieux et enrobés. Ils pourraient très bien se contenter de lots de consolation.

Je me levai donc avec un verre à la main et percutai la belle jeune fille. L'astuce la plus vieille du monde, mais j'étais pressé de remédier au déséquilibre qui régnait dans cette salle et n'avais guère d'imagination. De plus, nous arrivions à la fin du repas. C'était maintenant ou jamais. La serveuse partit pour aller se changer et je la suivis tout en lui faisant mes excuses. Nous pénétrâmes dans une arrière-salle au luxe démodé. Un peu plus loin se trouvait un vestiaire. Je ne me permis pas d'y entrer avec elle, même si j'en mourais d'envie. Elle en sortit quelques secondes plus tard avec une tenue toute propre. Je l'attendais et m'approchai tout près d'elle.

Je me montrai discret et silencieux. Il ne fallait pas brusquer ces choses délicates. J'optai pour une attitude douce mais ferme. Je mis mes bras autour de sa taille et ne pus résister à l'envie de poser ma bouche contre sa chevelure, en fan de cheveux noirs que je suis. Elle eut un petit mouvement de surprise – chose bien normale – et se retourna vivement. Son regard surpris me fit craindre pendant quelques secondes qu'elle ne résiste à mes assauts, mais rapidement, une expression de désir remplace la surprise. Elle se serra contre moi et ses lèvres se collèrent aux miennes. Je sentis sa langue habile explorer toutes les facettes de la mienne, tandis que ses mains parcouraient mon arrière-train. Diable, elle était plus active que moi, il fallait que j'inverse cette tendance. Cette pensée m'obsède un moment. J'essayais de me montrer plus dynamique, de rétablir l'ordre naturel de choses, en vain, en pure perte. La nana était dopée. Bien sûr, ce n'était pas désagréable, et seule ma virilité en prenait un coup. Le plaisir était bien là, je peux vous le dire.

Je ne pus finalement que constater qu'il était impossible de stopper cette furie. Elle me mordit tout le tour des lèvres et me griffa le torse à travers ma chemise. Ses yeux étaient en feu et je me voyais mal prendre le dessus. Je m'imaginais en train de la retourner et de lui faire son affaire, surtout que maintenant qu'elle se baissait, j'avais une vue plongeante sur son postérieur admirable. Cela ne resta à jamais qu'un rêve. Chacun de ses mouvements me prenait de vitesse, elle était trop rapide, trop surprenante, trop efficace. De même que je voyais l'Extrême-Orient bouffer l'Occident un jour, je me faisais tout bonnement bouffer par ce petit bout de femme super mignonne. La furie s'était jetée sur mon engin, l'avait gobé et allait et venait tout en me masturbant. Ensuite elle me saisit les cuisses et lécha mon gland comme on le ferait avec une boule de glace. Je tressaillis. Elle se remit à me sucer, toujours plus loin, et se mit à me caresser les couilles.

Ses doigts dansaient autour de mes testicules, c'en était trop. Je finis par lui envoyer ma sauce en pleine bouche. Elle avala avec gourmandise tout en me branlant encore. Une fois qu'elle fut certaine d'avoir avalé jusqu'à la dernière goutte, elle se releva et retourna directement au travail. Moi j'étais là, la bite à l'air, en train de reprendre mon souffle et certainement avec un air un peu ahuri. La suite de mon séjour consista à choper les autres employées pour les sauter à leur tour. Je n'eus guère de difficulté à parvenir à mes fins. Toutefois, c'est bien cette suceuse jaune qui me laissa le meilleur souvenir, peut-être parce qu'elle avait été la première.

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