Petite étudiante chinoise sexy


Ma femme avait besoin de fromage râpé à 11 heures du soir. J'ai cru pendant quelques secondes qu'il s'agissait d'une blague, mais non, c'était un ordre qu'elle me donnait. Je vous raconte mon histoire cochonne. Déjà qu'en Suisse, les magasins ferment tôt… Mais elle avait de la suite dans les idées. Il y avait une station-service non loin de là et je devais m'y rendre. La merde ! Moi qui voulait tranquillement regarder la télé. Il ne me restait plus qu'à m'habiller et à sortir. Je pris la voiture et me mis en route. Ce n'était pas si près. J'étais un peu endormi et ne conduisais pas très bien. Je sortis du village où nous habitions et me retrouvai sur la grande route de campagne qui menait à la ville la plus proche. Sur la droite, un peu en hauteur, il y avait une énorme maison encore bien éclairée. Je l'observait avec le maximum d'attention que je pouvais avoir à cette heure-ci, sans vraiment savoir pourquoi.
C'est à ce moment-là que j'ai failli rentrer dans une créature au bord de la route. Il faut dire que je roulais un peu de travers. J'ai heureusement pu redresser mon véhicule, puis j'ai freiné sec. J'ai soufflé un peu, puis je suis sorti de ma voiture. La créature en question était une jeune fille, une Asiatique. Je me suis approché d'elle. La pauvre, elle était traumatisée. Je lui ai présenté mes excuses. Elle ne parlait pas fort et j'avais de la peine à comprendre ce qu'elle disait, d'autant plus que le français ne semblait pas être sa langue maternelle. Je voulus savoir ce qu'elle faisait là à cette heure-ci.
-Il n'y avait plus de bus. J'ai dû marcher. Je me rends à l'École internationale de musique.
Elle me montra alors la grande maison du doigt et l’étui à violon qu'elle portait. Je me rappelais, maintenant. C'était une prestigieuse école privée pour petits génies de la musique. Elle devait venir d'une famille très riche ou alors elle avait reçu une belle bourse. Je lui expliquai qu'elle devait marcher dans le sens inverse des voitures. Elle me répondit qu'elle ne le savait pas car elle était arrivée du Japon il y a peu. Elle parlait pourtant bien le français. Mais elle m'expliqua qu'elle l'avait déjà appris dans son pays.
Nous n'allions pas rester ici à discuter pendant des heures. D'ailleurs, la fille n'était pas bien couverte. Elle était carrément en minijupe, avec de longues chaussettes blanches, un chemisier de la même couleur et un simple pull en laine posé sur les épaules. Elle avait les cheveux longs, en queue de cheval. On voyait sous son chemisier une poitrine bien ferme se profiler. Elle avait les jambes fines et un fessier peu proéminent. C'était le contraire de ma femme, quoi !
Elle avait l'air très timide, aussi ai-je été fort surpris lorsqu'elle a accepté que je l'amène à son école en voiture. Il faut dire qu'elle était gelée. Le trajet fut très court et elle me demanda de la laisser avant le portail d'entrée, car elle préférait qu'on ne sache pas comment elle était rentrée. Elle devait avoir vingt ans, peut-être un petit moins. On ne sait jamais trop avec les Asiatiques. J'avais le double et ne baisais plus beaucoup avec ma femme. Elle n'en avait pas envie et ne me plaisait plus de toute façon. C'était le moment de jouer le tout pour le tout.
-Tu ne me remercies pas de t'avoir ramenée ?
-Oh si Monsieur, merci beaucoup.
-Ici, les jeunes femmes remercient les hommes d'une certaine façon.
-Ah ? Et comment ?
Il ne me restait plus qu'à lui montrer. Je l'ai emmenée sur la banquette arrière et l'ai mise à quatre pattes. J'ai soulevé sa jupe et baissé la petite culotte qui se trouvait en-dessous. Elle avait l'air très surprise mais ne manifesta pas de désapprobation. C'était ma chance. J'ai caressé sa chatte et j'ai remarqué que c'était tout sec. Je me suis alors baissé pour laisser couler de la salive dessus et d'étaler tout ça avec ma langue. Tout était prêt, à présent.
Je l'ai rapprochée de moi en tirant sur sa taille. Je bandais comme un taureau. Je l'ai un peu caressée mais je ne tenais plus, il fallait que je la pénètre. J'avais devant moi un magnifique petit cul. J'étais sur motivé et j'avais l'impression de retrouver une seconde jeunesse. J'ai enfilé ma queue dure comme jamais en elle et me suis mis à la tirer comme un fou contre moi. Elle poussait des petits cris perçants qui me donnaient encore plus de motivation. Soudain, je n'étais plus fatigué. Paf, paf, vlan, et repaf, je la défonçais avec entrain et grande vitesse. Ces cris, ce cul, ces jambes nues… Il ne me faudrait pas longtemps avant d'atteindre l'orgasme. Il finit en effet pas arriver. Elle avait relevé la tête et poussait de longs « Haaaaaan ». Je me demandais si en fait, ce n'était pas une petite salope qui cherchait des plans baise avec une méthode un peu osée. Que m'importait au fond ? Dans quelques instants, j'allais la fourrer à ma sauce. Au menu, un bon petit canard laqué, sauce blanche. Curieux mélange, mais je conseille à tout homme d'essayer. Dès que je l'ai lâchée, elle a soupiré d'une voix soudain rauque et a remis sa culotte avant de sortir de la voiture. Son visage était neutre, je n'ai pas pu savoir si elle a aimé. En tout cas, elle m'a redit merci de l'avoir ramenée. C'était toujours ça. Ensuite, je n'ai jamais été aussi heureux en ramenant du fromage chez moi. J'ai simplement raconté à ma femme que j'avais renversé un chevreuil et je l'ai sautée avec une fougue qu'elle ne me connaissait plus depuis très longtemps. Au fond, je n'ai jamais rougi de mon infidélité car elle a redonné du piment à mon couple. Le fait de me remettre à prendre ma femme avec sauvagerie lui a aussi redonné goût au sexe. Il n'empêche que si je recroise cette petite salope, je ne me gênerai pas.

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