Cette nuit je suis ton esclave


Cette nuit je suis ton esclave

Ma première expérience de bondage a presque eu lieu par hasard. Je connaissais ce type de pratique par la lecture de quelques revues japonaises spécialisées en récit BDSM, mais je ne l'avais encore jamais pratiquée. Je pensais que cela resterait à jamais un fantasme, et c'était peut-être très bien ainsi. Je me voyais mal demander à ma femme de se laisser ligoter, même si je lui expliquais que c'était un art qui pouvait être très raffiné.

Et pourtant, c'est cette dernière qui m'a donné l'occasion d'assouvir cette envie très forte. Je l'avais invitée au restaurant pour fêter nos cinq ans de mariage. La soirée s'était très bien passée. La nourriture était excellente (japonaise), et nous étions tous deux très élégants et ravis de passer un moment romantique. Je crois que l'ambiance orientale du lieu m'a toutefois fait penser à nouveau au désir que j'avais de ligoter ma chérie avec art et délicatesse.

D'après mes souvenirs, nous nous sommes mis au lit assez rapidement, et c'est là qu'elle m'a dit : « Cette nuit, je suis ton esclave, donne-moi tous les ordres que tu voudras et j'obéirai. » Ce n'était pas la première fois qu'elle me faisait ce genre de proposition. C'était suffisamment rare pour être appréciable ; elle devait être excitée et désireuse d'entretenir la flamme qui brûlait entre nous depuis ces quelques années. D'habitude, je ne demandais rien de très spécial (soixante-neuf, fellations en série, sodomie, etc.), mais cette fois ci, j'ai eu l'envie de faire quelque chose de vraiment nouveau, de franchir un cap.

Pendant que ma femme attendait patiemment que j'articule enfin une réponse et que je lui dise par quoi nous allions commencer, j'ai repensé à ces magnifiques clichés de belles asiatiques aux cheveux noirs et au visage sérieux, parfois plaintif, attachées et parfois suspendues par leur corde. Les jeunes femmes étaient tantôt ligotées avec une précision chirurgicale, tantôt simplement enroulées dans un amas de cordes chaotique dans un jeu de lumière mystérieux. Mais quelle que soit la qualité des photos, j'étais toujours fasciné par ces visions, excité par l'idée de pouvoir faire la même chose et convaincu que cette pratique pouvait mettre en valeur une belle femme si elle était exercée avec soin. J'ai regardé ma femme d'un air finalement convaincu et lui ai dit de m'attendre cinq minutes.

Je suis ensuite revenu dans la chambre avec une jolie corde tressée que j'avais gardée patiemment dans mon coin bricolage. Elle a compris tout de suite, mais n'a pas paru effrayée. Elle m'a fait un sourire à la fois étonné et coquin et m'a félicité de faire enfin preuve d'initiative. Encouragé par son envie de collaborer, je me suis presque jeté sur elle et nous nous sommes embrassés langoureusement. Ensuite, j'ai entrepris de lui ôter son pantalon et lui ai caressé les jambes au passage. Elle s'est retrouvée sur les genoux et je lui ai pris les bras par derrière. J'ai serré ses poignets et les ai enroulés avec ma corde, depuis une extrémité. Elle ne semblait pas effrayée et me regardait par-dessus son épaule en souriant. J'ai pensé « On va voir si tu rigoles encore dans quelques minutes, ma salope » mais presque immédiatement, j'ai regretté ces sombres pensées.

Après l'avoir fait se coucher sur le dos, appuyée sur ses bras ligotés, j'ai continué à l'attacher en me concentrant sur ses jambes. Elle était à présent bien immobilisée. J'ai relevé sa jupe au maximum, afin de bien voir les courbes dessinées par ses fesses. « Qu'est ce que tu fais ? » Je lui ai répondu qu'elle était désormais en mon pouvoir. Je me suis allongé sur elle, et j'ai ôté ma chemise. Elle a voulu m'embrasser, mais ce qui m'intéressait, moi, c'était de la voir gigoter, se débattre.

Je sentais qu'elle n'était plus aussi ravie qu'au début. Elle me jetait un regard menaçant. Mais c'était trop tard, je ne voulais plus m'arrêter. « Détache-moi, ce n'est pas drôle ! » Je lui ai répondu que lorsqu'elle n'en pourrait plus, elle n'aurait qu'à me dire quelque chose de spécial. « Mais quoi ? » Je lui ai répondu « resto asiatique », car c'est la première chose qui me soit venue à l'esprit.

Un peu angoissée, j'ai attendu qu'elle rajoute quelque chose. Mais elle n'a rien dit Alors j'ai dégrafé les boutons de son chemisier tant bien que mal sous son emballage, et j'ai écarté un petit peu le vêtement. Je voyais maintenant parfaitement son soutien-gorge en dentelle noire. J'ai placé des coussins derrière son dos pour la mettre à l'aise et je me suis déshabillé. J'ai fini par ôter mon caleçon et me suis agenouillé devant elle. Elle jeta un coup d'œil à mon phallus. Celui-ci était bien dressé, face à elle. Je me suis dressé sur mes genoux et l'ai présenté à sa bouche. Elle a donné quelques coups de langues sur le gland, mais j'en voulais plus. Après tout, elle était mon esclave à présent. Je lui ai prise la nuque d'une main et je lui ai fait avaler l'engin dans sa jolie bouche, d'abord quelques centimètres, puis davantage, puis encore plus. J'ai fait mine de me retirer, puis je lui ai enfoncé à nouveau ma bite dans la bouche encore plus profondément. Lorsque, enfin j'ai pu aller au bout de mon envie, j'ai sorti ma verge de sa bouche et j'ai lâché sa nuque.

Elle m'a regardé et m'a demandé : « Et que vas-tu faire de moi maintenant ? » Elle avait dit cela d'un air neutre que je ne pouvais interpréter. Je l'ai fait se tourner. Elle était maintenant à genoux. Je l'ai poussée par les épaules et elle a collé sa joue contre le matelas. Son magnifique cul était pour moi. Elle gémissait car la posture n'était pas confortable, surtout ligotée. J'ai parcouru ses fesses de mes mains et lui ai enfoncé deux doigts dans la chatte après avoir écarté sa petite culotte. L'humidité que j'ai senti sur mon index et mon majeur m'a donné l'idée de lui caresser les organes génitaux avec ma belle queue. J'ai collé mon gland contre son clitoris et me suis à tourner sur celui-ci. Les gémissements ont changé. Elle gigotait dans sa posture de soumission et semblait désirer que j'accélère. Mais je n'en ai rien fait. J'ai continué le même rythme et soudainement, j'ai dévié jusqu'à son vagin que j'ai pénétré avec force, tout en m'accrochant à ses cuisses, mes ongles enfoncés dans sa chair. Elle hurlait à présent mais continuait à remuer son derrière rebondi. Au moment d'éjaculer, je me suis retiré et j'ai déversé ma semence sur sa chatte et sur son cul. Ensuite, je l'ai libérée et me suis allongée contre elle.

De mon for intérieur, je pensais déjà aux prochains scénarios plus élaborés que j'allais lui faire subir. Ce n'est que par la suite que j'ai repensé au « resto asiatique » qu'elle n'a jamais prononcé.

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