Premier contact avec une adepte du pipi


Je vais vous raconter mon histoire tabou uro qui m'est arrivé. J’étais sorti en boîte assez tôt. Je m’emmerdais et je ne savais pas quoi faire d’autre. Je n’avais pas envie de glander chez moi jusqu’à 23 heures. J’ai été dans une boîte assez connue où il y avait déjà du monde. C’était ce genre d’endroits où il y a des gens de tous les âges qui se dandinent sur les derniers tubes de R&B;, une musique je déteste à la base, mais après avoir bu quelques bières, ça passe, surtout lorsque je me concentre sur les jolis culs des minettes.

Niveau filles, ce n’était pas encore très intéressant. Y avait deux blacks habillées comme des putes au bar mais y avait déjà des mecs qui les collaient et je n’avais pas du tout envie de leur faire concurrence et de chercher les emmerdes. Je me suis quand même posé au comptoir et j’ai regardé ce qu’il y avait comme meufs potables. Alors j’ai vu une blonde qui, de dos, semblait pas mal. Elle avait un bon cul et des jambes parfaites. Bref, elle semblait bien foutue. Je me suis fixé sur elle et j’ai attendu qu’elle se tourne.

Elle s’est tournée, finalement, et elle s’est soudain mise à danser. Elle bougeait drôlement bien son cul, la salope ! Et elle était plutôt canon, avec de jolis seins qui devaient être bien fermes, croyez-en mon expérience. Elle était un peu trop maquillée, mais ce n’était pas grave. Tout ce qui m’intéressait, c’était de me taper une bonne meuf cette nuit. Alors je l’ai matée en train de danser et ça valait la peine. Elle semblait super excitée et j’espérais qu’elle remuait autant au pieu que sur la piste.

Quand elle a arrêté de danser, elle est revenue près du bar, et c’est là que j’ai attaqué. Je lui ai offert un verre et l’ai complimentée. C’est vrai que c’était la nana qui bougeait le mieux de la boîte, mais il n’y avait pas encore beaucoup de monde. Je lui ai donc simplement dit qu’elle dansait drôlement bien et qu’elle était très sexy. J’y avais été un peu fort, mais elle ne semblait pas contrariée, au contraire, elle me dévisageait de façon assez visible. Elle voulait sûrement baiser, elle aussi.

On a été presque automatiquement aux chiottes de la boîte. J’ai jamais eu de peine à draguer les bonnes femmes, mais là, ça avait été drôlement facile. Elle ne disait pas grand-chose à présent, elle se contentait de me sourire. J’espérais que c’était un bon coup. Une fois dans les chiottes, elle m’a poussé contre un mur et s’est mise à m’embrasser comme une folle, toute langue dehors. J’essayais de l’attraper, mais c’est elle qui dirigeait les opérations.

Elle s’amusait à me mordre, à appuyer ses mains contre mes couilles à travers mon pantalon. J’étais excité et j’en avais marre d’être à la merci de cette malade. Alors j’ai profité d’un moment de faiblesse de sa part pour la saisir par la taille et la coller contre le mur. Son cul était à ma disposition à présent. Elle gueulait en riant, je sentais qu’elle n’attendait que ça. Finalement elle s’est calmée, ce qui m’a permis de prendre un préservatif, mais sitôt que j’ai pu, je l’ai pénétrée sans ménagement, tout en la tenant fermement. Elle se débattait, mais je voyais que c’était du bidon.

Je me suis déchargé les couilles assez rapidement, car elle m’avait déjà bien chauffé. Mais une fois que j’ai ôté mon préservatif, satisfait de mon coup, je me suis rendu compte qu’elle ne comptait pas en rester là. De mon côté, il n’y avait aucun problème. Alors elle s’est remise à me sauter dessus comme une chienne et m’a fait me mettre par terre. J’avais à présent le cul posé et elle se tenait au-dessus de moi, avec un air triomphant et la chatte devant mon visage. Je me suis dit qu’elle voulait que je la lèche. Je lui ai alors saisi les cuisses et me suis approché de son minou, toute langue dehors. Elle m’a pris les cheveux avec sa main droite et une fois que j’ai eu ma bouche à portée de l’objectif, j’ai senti un liquide couler dans ma bouche. Pendant quelques secondes qui m’ont parues bien longues, je me suis demandé ce qui arrivait. Je n’osais pas comprendre qu’en effet, cette salope me pissait dans la bouche. Je suis resté immobilisé et j’ai levé mes yeux jusqu’à son visage dans l’espoir d’y saisir une explication. Elle avait l’air de jouir et me regardait d’un air triomphant. « Tu l’aimes, mon champagne, hein ? » Je ne pouvais pas répondre et je n’osais rien faire. Une fois qu’elle a eu fini de se vider de son urine dans ma bouche, elle m’a saisi la nuque des deux mains et m’a encore approché le visage de son vagin encore tout humide.

J’ai léché et léché encore. Ma première impression avait été comme un sentiment proche de l’horreur. A présent, je m’en foutais presque. La nana semblait en état d’extase totale, et moi je broutais le minou d’une jolie blonde canon. Mon odorat peu développé me permettait de ne pas trop sentir l’odeur de pisse qui s’échappait de son trou. Alors je l’ai léché de partout : le clito, le vagin, l’intérieur des cuisses. J’étais comme rendu fou par le liquide jaune dont elle m’avait abreuvé.

Quand un cri de jouissance est sorti de sa bouche, elle m’a délicatement écarté la bouche de sa fontaine et m’a dit qu’elle avait été ravie par ma performance. Elle était peut-être surprise que je collabore. Je n’en revenais pas moi-même, mais je ne regrettais pas. Après m’être lavé, la bouche surtout, je l’ai raccompagnée hier. Elle a attendu un taxi dans la rue et juste avant de monter, elle m’a demandé : « On se revoit un de ces quatre pour remettre ça ? » J’ai fait semblant de réfléchir, puis j’ai accepté. Alors elle m’a donné sa carte et elle est montée dans le taxi, toute contente. J’ai regardé le véhicule partir en me disant que la prochaine fois, c’est moi qui lui pisserais dessus

Une autre histoire tabou ?

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