Attirée par un élève

Rencontre toi aussi ta petite coquine et partage nous ton récit ensuite !

Cette histoire tabou sur le sexe que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Je dirais un peu des deux, il sera très facile de séparer les deux après lecture, le fantasme ne se mélangeant pas avec la réalité mais prenant la suite.

Professeur de Mathématique dans un lycée en filière général et professionnel, 42 ans mariée 2 enfants, voilà pour la petite présentation.

Mes expériences extraconjugales étant très limitées, une et demi (je laisse à chacun le choix de juger « le demi » dans mon premier récit), je suis néanmoins depuis quelques mois totalement différente de la femme que j’étais. L’envie de plaire aux hommes devient une obsession, le faite d’être apprécié par des regards masculins a toujours été agréable (comme pour toute les femmes je pense), mais je cherche plus à exciter la gente masculine aujourd’hui, qu’à recevoir une simple attention du regard, ce qui est nouveau pour moi, n’arrivant pas encore à franchir totalement le pas.

Une excitation beaucoup plus vivace également dans certaine situation, je me surprends parfois à mouiller comme une folle, la masturbation étant pratiquement quotidienne. Mon mari ne me comblant pas cette excitation, le phénomène empire jusque sur mon lieu de travail, au lycée.

Cette histoire que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Je dirais un peu des deux, il sera très facile de séparer les deux après lecture, le fantasme ne se mélangeant pas avec la réalité mais prenant la suite. Comment réagirais-je s’il s’était produit, je n’en ai aucune idée, professionnellement je le repousserais, en tant que femme je ne m’y opposerais pas !

Ce récit concerne un de mes élèves de la terminale de bac pro, je l’appellerais Samir (l’avantage de se site est que l’anonymat est préservé, je ne voudrais pas que l’on puisse faire le lien).

Samir est un jeune rebeu de 18 ans, je ne suis pas spécialement attirée par les mecs d’origines arabes, même si mon expérience précédente peut faire penser le contraire, mes préférences allant plutôt vers les blacks styles antillais ou les métisses, et de façon générale les hommes à peau mâte. Je reconnais que des jeunes rebeus peuvent avoir une certaine virilité malgré leur jeune âge, mais je ne fantasme pas sur eux pour ça, voir souvent énervé par leur comportement, tout du moins au sein du lycée.

Mais Samir sort de cette caricature, il est issu d’une famille difficile (d’origine Marocaine je crois), des problèmes de violence dans son jeune parcours, une dégaine de « racail » aux yeux de beaucoup, et le langage qui l’accompagne, avec des difficultés scolaires qui l’ont entrainées vers un CAP d’apprentissage, puis vers un Bac professionnel (qui remplace le BEP).

Je viens effectivement de me contredire et de faire le portrait type de la jeune racail de rebeu ! Ca c’est ce que pensent mes collègues, moi je dirais que s’est plutôt un petit branleur qui laisse paraitre cette image lui donnant l’impression de rester un vrai mec.

Il est beaucoup plus intelligent qu’il veut bien le montrer, la preuve, en Mathématique sa moyenne atteint péniblement les 10/11 sur 20, alors qu’il ne termine jamais les devoirs écrits et atteint la moyenne quand-même, il est capable de terminer ses écrits, mais avoir une bonne note serait pour lui contraire à son image. Je sais que je peux l’aider, lui faire comprendre que l’image n’est pas importante et que son intelligence peut aider son avenir, mais la chose n’est pas simple et mes collègues sont en total désaccord avec moi sur ce point, ne souhaitant pas « s’emmerder » avec un jeune « con ».

N’est-ce pas le rôle premier d’un professeur ? Même si je dois avouer que je ne m’en étais pas préoccupée les deux années précédentes, c’est surtout lors de cette rentrée scolaire que je l’ai remarqué.

Samir étant ce qu’on peu appeler un beau gosse, un visage virile, tellement mignon qu’on en tomberait, 1,80 m sans être baraque, mais musclé sans un gramme de graisse, j’ai pu m’en rendre compte en septembre lorsqu’il s’est mis torse nu dans la cours (vite rappelé à l’ordre d’ailleurs), un joli petit cul rebondi, ce qui est rare chez les mecs. Bref, le beau gosse et il le sait, malgré une arrogance certaine vis-à-vis des filles de sa classe que ce soit dans sont attitude ou ses paroles, très insultantes. A leurs regards la plupart des filles de la classe (peu nombreuses) et du lycée je pense, serait aux anges si il daignait s’intéresser à elles.

Etant donné mon regard différents sur les hommes ces derniers mois, même si la tranche d’âge qui m’attire serait plutôt entre 30/35 ans, je n’étais pas insensible à ce petit con qui malgré ça était un super beau mec.

Je me surprenais même à mater ses fesses quand il rentrait en classe, seul point négatif, il savait qu’il était beau gosse et ça le rendait imbu de sa personne, amplifié par son attitude de jeune branleur.

Bref, c’est donc lors d’une surveillance d’une « colle » ou mes rapports avec Samir ont changés.

Ils étaient trois à être retenus ce jour là en période de vacance scolaire, et je m’étais portée volontaire pour la surveillance de cette étude de 15 à 16 heures 30 (pour des questions pécuniaires, ne sachant d’ailleurs pas que Samir serait présent).

Ma tenue était différente de celle portée habituellement lors de mes cours, qui est somme toute très discrète et conventionnelle. Ce jour là, sans être provocante, elle était plus « féminine », j’avais mis un jean slim de couleur beige foncé, donc très moulant, des escarpins noirs au bout arrondi avec des talons de 8 cm, assez classique, mais qui élançait encore plus ma silhouette et me faisait un joli petit cul (c’est la réflexion que je m’étais faite en m’observant dans la glace en m’habillant). En haut un petit pull léger col V couleur écru, très prononcé le « V », puisque l’on pouvait facilement apercevoir mon soutien gorges balconnet dans certaine position, et pour finir, ce qui était caché, un ensemble string et soutien gorge blanc et noir à dentelle, on pouvait d’ailleurs deviner mon soutien gorge à travers mon pull de près.

C’est donc dans cette tenue que j’ai accueilli les trois élèves à la porte du lycée et accompagné dans la salle de classe au 1er étage. J’entendais bien les remarques qu’ils se faisaient derrière mon dos, ça ne me déplaisait pas et pour la première fois je n’étais pas gêné « d’allumer » des élèves, ça ne m’était jamais arrivé jusque là, il faut dire que suite à une discutions sur le net dans la matinée, j’étais particulièrement excitée.

Je leur demande de s’installer dans la classe, chacun deux rangées derrière l’autre pour éviter tout débordement et bavardage. Samir était donc présent, et comme pour confirmer son rôle de « branleur », il prend place au dernier rang, je l’ai tout de suite remarqué puisqu’il portait un débardeur très large qui laissait imaginer sa musculature sèche, et en bas un simple jean droit, il est fort probable qu’un tel débardeur n’aurait pas été autorisé en cours, mais moi-même ne portant pas une tenue conventionnelle, il m’était donc difficile de lui en faire la remarque, et en plus ça ne me déplaisait pas.

Je leurs distribue donc le dossier des devoirs qui leur étaient attribués pour cette « colle », Samir ne se gênant pas pour me dévisager de bas en haut sans aucun complexe quand je me suis porté à sa hauteur, j’étais même rouge de honte sans pouvoir contrôler la montée de cette honte, à son regard j’ai vu qu’il l’avait remarqué, difficile de ne pas voir mes joues devenir de plus en plus rose, ça semblait même l’amuser puisque qu’il a immédiatement porté un regard insistant vers mon décolleté avant de revenir vers mon regard avec un sourire mesquin et un air insolent. L’impression de honte n’a fait qu’empirer lorsque j’ai rejoins mon bureau, imaginant son regard sur mes fesses.

Enfin de retour à mon bureau et assise derrière celui-ci, il me donnait l’impression de rempart, ce qui m’a permis de reprendre mes esprits et mon autorité pour leur transmettre les consignes habituelles à l’exercice des écrits qui leurs avaient été remis.

Ils se mirent tous au travail, ou tout du moins en donnaient-ils l’impression, je jetais un coup d’œil de temps en temps pour m’en assurer, les deux premiers étaient penchés sur leur copie, mais Samir lui, me fixait, la chaise basculée en arrière et me faisait un signe avec sa langue qui tournait dans sa bouche imitant une fellation, j’aurais pu, et j’aurais du, à ce moment là, le faire sortir de la classe, faire venir le concierge et appeler le proviseur par téléphone qui l’aurait certainement renvoyé au moins temporairement du lycée pour son attitude, en plus étant la préférée du proviseur, la sanction aurait été rapide et très ferme.
Mais non j’en ai rien fait, j’ai simplement rougi une nouvelle fois comme une simple gamine et remis immédiatement mes yeux dans mes dossiers de correction. A chaque tour de regard, la même chose, il semblait attendre que je lève la tête, et moi incapable de prendre le dessus, le rouge me montait au joue plus vite que je le voulais.

A 16 heures, je décidais de faire un tour auprès de chacun pour constater l’état d’avancement de leurs copies. Je me lève en prenant soin de ne pas croiser le regard de Samir, je me dirige vers le premier rang, je me penche sur la table de cet élèves pour voir le travail accompli, en oubliant totalement le spectacle que je lui apportais dans cette position, il pouvait voir entièrement mon soutien gorges, je me demande même si il ne pouvait pas apercevoir mon ventre ? Il avait une vue imprenable sur mes seins. Je m’en suis rendu compte au bout de 3 mn, son air gêné m’ayant surpris et un regard furtif sur son bas ventre m’a fait constater qu’il bandait !
J’ai tout de suite compris pourquoi, je me suis levée en essayant d’être la plus naturelle possible dans ce changement de position, ne voulant pas lui laisser croire que mon geste était volontaire, il ne l’était pas d’ailleurs, la pression mise par Samir m’ayant fait oublier mon décolleté.

Je passe au second deux rangs derrière, toujours sans regarder Samir, je me positionne dans le dos du second élève pour éviter la même bévue, je pose les questions habituelles, j’écoute à peine ses réponses étant angoissé par le prochain élève, Samir, comment l’approcher sans rougir ? Il fallait que je me calme rapidement, ça faisait 30 mn que je faisais semblant de corriger des copies et que je mouillais comme une folle malgré ma gêne !

Je me décide à passer à Samir, mais toujours sans croiser son regard, profitant de ce cours parcours pour dire aux deux autres « Je vous rappelle qu’il vous reste plus que 15 mn ». Avec ce petit stratagème, j’avais réussi à me porter derrière Samir sans avoir eu à le regarder, et je repousse d’un geste ferme sa chaise pour lui faire comprendre que sa position n’était pas acceptable.
Mais ce petit con ne se déstabilise pas, il me montre un exercice de math et me dit :
– Je ne comprends pas madame. (Madame !!! il joue bien la comédie, vu l’insolence de ces gestes jusqu’alors)

En plus un exercice de math, sachant très bien que je pouvais y répondre contrairement aux deux autres matières qui leur étaient imposés. Il avait certainement remarqué ma position à la première table et voulait profiter du spectacle, je n’étais pas dupe de son piège et je ne croyais pas du tout à l’incompréhension de l’exercice.

Il était pas question d’offrir mon décolleté à sa vue, je fais donc glissé la feuille d’exercice sur la table d’à coté, et me penche légèrement pour lire l’intitulé du problème, ma position ne lui permettait pas de jouir de mes avantages, bizarrement j’avais l’impression d’avoir gagné un combat !

Mais quel fut pas ma surprise de sentir une main me caresser l’intérieur de ma cuisse gauche et remonter à mon entre-jambes ! Ses doigts me massant la chatte à travers mon jean !

Ça n’a durée à peine 2 à 3 secondes, mais je me rappelle m’être posée la question « quel culot, je fais quoi ? Je ne bouge pas et je le laisse continuer, qu’il s’occupe de moi ce branleur ? ». En à peine quelques secondes, j’avais réussi à me poser la question, qu’est ce qui me prend !

Je me relève énergiquement, le regarde fixement dans les yeux pour lui faire comprendre ma désapprobation, et sans rougir, finie la honte, la prof à repris le dessus !

Ce petit con se démonte pas, il soutient mon regard, bascule de nouveau sa chaise et met sa main sur son sexe avec le geste qui va avec !!!!

Je n’ai pu m’empêcher de regarder sa bosse, son jean était déformé tellement il bandait ce petit connard, le plus surprenant, c’est que je suis bien restée fixée sur sa bosse au moins 5 secondes avant de le regarder de nouveau, il souriait, semblait avoir apprécié mon regard insistant sur sa bosse, sans le vouloir j’ai rougi, cette impression de chaleur qui montait sur mes joues m’a fait quitter son regard, et je ne sais pourquoi, le diriger de nouveau sur sa bosse ! Ça n’a pas duré longtemps, mais je ne savais plus où me mettre.

J’ai fais machinalement deux pas en arrière et ai crié à l’ensemble, « c’est fini tout le monde sort ».

Bien évidemment, les deux premiers ne se sont pas fait priés, ils se sont levés tout de suite, Samir lui me regarde et dit :
– Madame, il reste encore un quart d’heure ?

Lui qui déteste l’école, et je suppose, encore plus les devoirs imposés en colle, il se la joue élève modèle, il ose le branleur !

Je sentais que si je ne réagissais pas immédiatement, les deux autres allaient sortir et je me retrouverais seul avec Samir, lui et moi sans personne d’autre, ces deux comparses sortirons en moins de 2 mn de l’établissement, le concierge lui doit être dans sa loge ou dehors, donc un étage entièrement vide à l’exception de Samir et moi !!!!!!

Samir a compris que j’étais à sa merci, que je n’arrivais pas soutenir son regard, que je le laissais me faire des gestes obscènes, que je n’avais pas réagi en profs, ni non plus quand il m’avait touché, peut-être avait-il senti avec ses doigts que j’étais trempée, c’est probable.

On se retrouve seuls, toujours aussi insolent, il se lève, vient vers moi, me prend par le cou et les cheveux, me fait mettre à genoux pendant qu’il se rassoit sur sa chaise.
J’ai le visage sur sa bosse, la tête bloquée par la pression de sa main, je ne peux m’empêcher d’écarter les lèvres pour sentir sa bite sous son jean, il a gagné, il l’a compris :
– C’est ma grosse teub que tu veux salope, t’aimes ça la bite de jeune mec, hein… ou c’est la bite de rebeu que tu aimes… tu vas en avoir, avec moi t’as les deux.

En parlant, il me relève légèrement la tête, déboutonne entièrement son jean et sort sa bite… Ouah quel morceau, je comprends pourquoi il est si sur de lui avec les filles, non seulement il est beau mec, en plus il est hyper bien monté, elle doit bien faire 20/22 cm, circoncise et vraiment très épaisse, je dirais même qu’elle fait peur par sa longueur et son diamètre.

Il me repousse sur sa bite, j’ouvre la bouche, met les mains autour pour ne pas avoir à l’avaler toute entière, trop grosse pour moi, il ne lâche pas ses insultes :
– Tu voulais ma bite salope, avale, t’es pas habituée à la grosse bite de rebeu, suce sale garce.

Il m’enlève les mains de sa bite, et appuie sur ma tête pour enfoncer sa bite jusqu’aux couilles, j’ai un haut de cœur, j’essaye de lui dire non, mais impossible de sortir un son audible :
– Aarrrrrggggg ……… nonnnnnnn…….. mmmmmmmmmmmmmm.

Samir :
– C’est ça salope, j’te baise la gueule…. Quand j’en aurais fini avec toi, tu seras une vraie chienne.

Il relâche un peu son étreinte, je reprends mon souffle, il me dit :
– Déboutonne ton jean salope, je sais que t’es trempée.

Il enlève sa main de mes cheveux, je me redresse pour me déboutonner, toujours à genoux, je le regarde en ôtant mes boutons, il sourit de satisfaction et dit :
– Tu vois ce que c’est qu’un mec salope, debout.

Je me relève le jean déboutonné, il m’a accompagné, m’enlève mon pull, je me retrouve en soutien gorge face à cette petite racaille de Samir, il baisse mon soutien gorge, je suis seins nus, il les quitte pas des yeux, moi j’en profite pour mieux voir son sexe que j’ai si bien senti en bouche, elle est grosse, vraiment impressionnante, ma poitrine semble être à son gout :
– Putain salope, t’es bonne.

Il enlève son débardeur, sans lâcher mes seins du regard, humm j’ai envie de le toucher, je suis pas habitué à un tel corps, quelle chance, mais il met fin à ma contemplation, me retourne violemment, me plie sur la table, baisse mon jean avec un peu de peine, le coté élastique de mon pantalon n’aidant pas, mais entrainant mon string en même temps, je me retrouve les seins et le ventre sur la table, le pantalon aux genoux, mes fesses à son bon vouloir :
– T’es pas là pour mater salope, t’es là pour te faire baiser.

Je sens ses doigt dans ma chatte trempée, il mouille bien ses doigts avec mon excitation, je les sens qui remonte sur mes fesses, il sait y faire ce petit con, c’est son gland que je sens maintenant, et d’un geste brusque il l’enfonce, je pousse un cri :
– Nannnnnnnnnn ……….. Haaaaaaaaaaaaa…… aaarreetttttttttttttttttteeeeee.

Il me pilonne, je cris de plus en plus fort, il est fier de lui :
– Qu’est tu dis la prof, ah ouais t’aimes ça, c’est bon ma grosse bite, tien han… Putain tu va me faire gicler salope.

Il ressort, me retourne, et me rentre sa bite dans ma chatte, toujours aussi violemment, mais là j’apprécie et il l’entend :
– Ouuiiiiiiiiii…… hummmmmmmmmmmm…. Salaud…… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii.

Samir :
– Je t’avais dit que j’allais faire de toi une chienne, salope……… t’es une bonne garce……… argg.

Il vient de jouir en moi, je sens ses saccades de jet se déverser dans mon ventre, hummm.

Il reste sur moi quelques secondes, passe sa main derrière ma tête, fait une pression vers l’arrière avec sa main me tirant les cheveux, me regarde droit dans les yeux et me dit :
– T’as aimé ça salope.

Je ne peux que répondre un faible :
– Oui.

Il se lève, recule de deux mètres, remonte son jean tout en me regardant remonter mon string et mon jean seins nus, réajuster mon soutien gorge, prendre mon pull par terre et l’enfiler, lui finit de se reboutonner tranquillement, il semble prendre plaisir à me voir me rhabiller après m’être faite baiser, et me pose une question avec un air tout à fait détendu :
– Tu rentres chez toi maintenant ?

Moi, surprise par sa question, tellement anodine sortie de ce contexte :
– Heu… oui.

Samir poursuit toujours aussi simplement son questionnement :
– Tu vas aller voir ton mec ?

Moi :
– Heu… mon mari ?… oui.

Il affiche un sourire satisfait et se met à rigoler :
– T’es qu’une salope.

Et il sort de la classe, me laissant vraiment l’impression de m’être comporté comme une salope.

Mais non, j’ai su réagir à temps, rester ferme et dire à Samir :
– Ça suffit maintenant, tout le monde sort.

J’ai rangé mes affaires et suis sortie de la classe, en demandant au concierge, croisé en bas des escaliers, d’aller vérifier que les trois élèves quittent bien l’établissement, prétextant que j’étais pressée et que je ne pouvais pas attendre.

Si je n’avais pas réagi, mon fantasme se serait-il transformé en réalité, si oui, il est fort probable que je ne l’aurais pas autant apprécié qu’en imagination.

Il reste vrai que ce petit branleur m’a souvent faite mouiller et que je me suis masturbée un nombre de fois incalculable en pensant à lui, et c’est toujours le cas. Il ose des choses qu’aucun autre élève n’avait faite ou si savait été le cas, je n’aurais jamais laissé faire, mais lui si !!!!

Une entrevue avec Samir a quand-même eu lieu quelques jours plus tard pour rétablir la situation, aujourd’hui je ne fais plus l’objet de geste déplacé de sa part, attouchement non plus, c’était la première et dernière fois, pour le reste je fais avec.

Je pense que tout le monde a compris où s’arrêtait la réalité et où commençait le fantasme, un peu hard je vous l’accorde, mais c’est bien le but du fantasme de nous attirer vers une réalité totalement différente de ce que nous serions prêts à accepter, non ?

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