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Jeune femme de ménage Africaine


Je vais vous raconter mon récit coquin avec une black pour vous les lecteurs de ce site ! Ma femme n'avait plus le temps de faire le ménage régulièrement et moi, ça me faisait tout simplement chier. Alors elle m'a proposé de prendre une femme de ménage. Je n'étais pas très chaud. Après tout, ça coûte cher une femme de ménage, il faut la payer, et je dois avouer que je suis un peu avare. Finalement ma femme m'a convaincu. Elle connaissait quelqu'un qui connaissait quelqu'un, etc. Un matin, je me suis donc retrouvé de corvée d'accueil pour la bonne femme qui allait venir nettoyer.
Elle est arrivée avec dix minutes de retard. Ça commençait bien. Je ne me souvenais plus de son nom, j'avais juste retenu qu'elle venait du Cap-Vert. Je savais à peu près où c'était. Je connaissais la chanteuse Cesaria Evora (je crois) qui venait de là-bas, une grosse mamie. Ce n'était guère réjouissant. En plus, je ne savais même pas si elle avait des papiers, cette femme de ménage. Bref, je n'était pas très enthousiaste. Et elle est enfin arrivée, en retard, comme j'ai dit.
Elle a sonné à la porte, et j'ai ouvert paresseusement. Il était encore tôt, et je n'étais pas réveillé. J'étais contrarié de m'être levé tôt pour ouvrir à Madame. Enfin j'ai ouvert les yeux et j'ai été très surpris, du moins, la vision que j'ai eue à cet instant a eu pour effet de me réveiller. La jeune femme n'était pas grosse du tout, pas vieille du tout, bref, elle ne ressemblait pas du tout à Cesaria Evora. Elle était surtout très souriante et s'est présentée à moi avec un air charmant. Je n'ai pas enregistré son nom car j'avais le regard fixé sur son visage. Elle avait bien le type africain, mais sa peau était plutôt café au lait et elle avait les traits assez fins. J'ai un peu baissé les yeux pour évaluer le reste. Elle portait une espèce de vieux t-shirt qui ne mettait pas du tout ses seins en valeur. On aurait pu croire qu'elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais j'étais sûr qu'une fois déshabillée, c'était très correct. A ce moment-là, je me suis enfin décidé à la laisser entre pour pouvoir évaluer l'intérêt de son cul.
Et j'ai bien fait ! Elle avait vraiment un cul terrible et en plus, elle portait un jeans moulant. J'ai pu l'admirer bien en détail. C'était un petit cul bien rond et ferme, un vrai bonheur. J'en avais la trique, comme ce n'est pas permis. La prendre par derrière devait être un vrai bonheur. Dire que j'avais failli refuser catégoriquement d'engager une femme de ménage !
Puisqu'il fallait bien qu'elle fasse le ménage, je lui ai indiqué où se trouvaient l'aspirateur, les balais, les produits de nettoyage, etc. Puis je me suis installé dans le sofa du salon pour y lire le journal. En réalité, c'est l'endroit idéal pour l'observer. J'essayais d'être discret, mais en fait ce n'était même pas nécessaire car elle était très concentrée sur son travail. J'adorais quand elle se baissait. Je voyais encore mieux son joli cul et je m'imaginais en train de la baiser ainsi. C'était une pensée très agréable. Je n'avais plus qu'une idée en tête : baiser cette petite chienne africaine.
La matinée a passé très vite. Elle avait fini son ménage. J'ai failli lui demander de revenir l'après-midi, mais ça aurait fait louche, surtout qu'elle avait tout très bien nettoyé. Elle a fait mine de s'en aller alors, bandant comme un cheval, j'ai pris les choses en main :
-Nous n'avons pas eu le temps de faire connaissance. Vous êtes très pressée ?
Elle m'a répondu que non avec un grand sourire et un accent assez fort. Cette fille était un vrai rayon de soleil, je ne pouvais l'imaginer ne souriant pas.
-Dans ce cas, je vous propose de rester un moment pour que nous discutions un peu.
Nous nous sommes assis au salon et je lui ai offert à boire. Elle semblait enchantée par l'idée de rester un moment.Elle m'a un peu raconté sa vie mais je n'ai pas réussi à savoir si elle était sans papiers ou non. Puis j'ai regardé ses cuisses et je me suis dit qu'au fond, je m'en fichais complètement. Au bout d'un moment, nous ne savions plus quoi nous dire. Elle s'est levée et a fait mine de partir. Je lui ai fait :
-Attendez !
Elle s'est retournée et s'est retrouvée face à moi.
-Oui ?
Je me suis approché d'elle et je l'ai embrassée. Elle a voulu reculer mais je l'ai prise dans mes bras. Je l'ai regardée et lui ai demandé s'il y avait un problème en lui faisant mon plus beau sourire. A ma grande surprise, c'est elle qui m'a embrassé cette fois. Je me suis immédiatement emparé de son petit cul, après tout, c'est ça qui m'intéressait depuis son arrivée.
Après avoir glissé mes mains sous son jeans moulant, je l'ai embrassée dans le cou. C'était très pratique : Elle avait un chignon. Je lui ai léché les oreilles également puis je suis revenu vers son visage et sa bouche tandis qu'elle s'accrochait à mes épaules.
Puis, désireux de voir ses seins de plus près, je lui ai ôté son t-shirt pour mieux pouvoir m'occuper de sa poitrine. Elle avait un mignon petit soutien-gorge rose que j'ai ôté en deux temps trois mouvements. Ses seins n'étaient pas énorme finalement, mais très mignon. Je me suis jeté sur eux avec gourmandise et les ai engloutis tour à tour dans ma bouche.
Décidé à faire travailler ma langue sur ce joli corps, je suis descendu au niveau du nombril que j'ai inondé de salive, puis j'ai baissé ses jeans et sa culotte en dentelle noire. Elle a écarté légèrement les jambes et ma langue à pu atteindre son clitoris.Je l'ai prise par la taille pour améliorer le contact et lui ai fait écarter davantage les langues pour descendre également vers son vagin.
Le sofa se trouvait à proximité. Après avoir plongé ses mains dans mes cheveux, la femme de ménage a un peu reculé et s'est laissée tomber dans celui-là. Je lui ai complètement enlevé ses vêtements et j'ai pu la lécher à grands coups de langue. Tantôt je lui enfilais la langue le plus profondément possible, tantôt je fais des mouvements variés sur son clitoris.Soudain, elle s'est recroquevillée sur elle-même et poussant un immense soupire. C'était plus rapide qu'avec ma femme !
Pendant qu'elle se remettait de ses émotions, j'ai été chercher un préservatif (je les utilise pour sodomiser ma femme) et suis revenu au pas de course vers ce canon des îles. Elle s'était tournée sur le côté et j'en ai profité pour la prendre par derrière. Elle s'est alors mise sur le ventre et je me suis allongé sur elle. Son petit cul était à moi. Le rêve devenait réalité. Je tenais en équilibre sur mes mains, ainsi pouvais-je admirer ma bite pénétrer ces fesses délicieuses.
Cette furie, qui jusqu'ici semblait simplement collaborer, s'est soudain relevée et a failli me faire basculer en arrière. Elle tenait en équilibre sur ses pieds et contre moi. Elle avait pris des risques, la chipie ! Je pouvais à présent lui mordiller à loisir le bas du cou et peloter ses charmants petits seins bien fermes.
Je lui caressais tout le corps : les cuisses, le cul, les seins, le ventre… Forcément, j'ai fini par craquer et j'ai dû lâcher des tonnes de sperme dans cette petite salope. Je l'ai fait se mettre à quattre pattes pendant que mon éjaculation finissait. Elle s'est relevée et m'a embrassé avec fougue et tendresse. J'en étais presque ému. Elle s'est relevé et a pris ses vêtements pour se rhabiller. Elle m'a dit en souriant qu'à présent, elle devait vraiment partir. Je lui ai dit de revenir la semaine prochaine, comme ma femme de l'avait demandé. Elle m'a fait un clin d'oeil et est partie.
Le soir, ma femme est rentrée de son travail.
-Alors chéri, elle est bien la femme de ménage ?
J'ai répondu bêtement :
-Oh oui, elle est vraiment bonne.

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