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Beurette baisée dans le garage


Un recit sexe arabe ca vous dit ? Allez je vous raconte mon histoire : Pendant mes études, je donnais des cours privés à des élèves en difficultés. Je faisais le français, les maths, un peu de tout en fait. J'avais différents types d'élèves. Des gosses de bonne famille un peu paresseux d'un côté. Leurs parents étaient prêt à mettre le prix pour qu'on les fasse travailler. Il y avait aussi des élèves qui venaient de familles pauvres. Dans ce cas, c'est l'Etat qui payait. Depuis quelques temps, je devais me rendre dans la banlieue parisienne pour donner des cours. Je n'étais pas tellement rassuré car je n'avais pas l'habitude des cités et ces bandes de jeunes qui me regardaient d'un air curieux, ça me mettait mal à l'aise. J'avais l'habitude de m'habiller assez classe, mais depuis que je devais me rendre dans ce quartier, je mettais des vieux vêtements. L'un de mes élèves s'appelait Tarik. C'était un petit Tunisien de 11 ans, pas très doué pour les études mais très gentil, tout comme le reste de sa famille. J'avais vraiment envie qu'il s'en sorte et n'hésitais pas à faire des heures supplémentaires pour le faire travailler correctement. Ses parents appréciaient ma bonne volonté et se montraient très aimables avec moi. Tarik avait une grande sœur, Noor, 19 ans, que j'ai mis du temps à voir car elle travaillait comme coiffeuse et avait des horaires un peu spéciaux.

J'ai fini par la rencontrer. J'étais resté un peu plus longtemps pour être sûr que Tarik apprenait son vocabulaire d'anglais, et elle est rentrée. Après l'avoir bien fait bosser, je suis sorti du salon et je suis tombé sur sa sœur dans l'entrée. Elle était vraiment canon. Elle avait de jolies bouclettes brunes, une peau bronzée qui donnait envie de la lécher direct et des jolis petits seins bien fermes. Par contre, je n'aimais pas trop sa façon de s'habiller, genre training de sport et baskets, mais je suis quand même resté un moment langue pendue avant qu'elle ne se décide finalement à m'adresser la parole.

-Vous êtes le répétiteur de Tarik ?

Evidemment, je n'étais pas la nouvelle femme de ménage.
Elle m'a poliment serré la main. Bonne nouvelle, elle ne parlait pas comme les espèces de racailles du coin. Elle avait juste un léger accent très charmant. Je l'imaginais avec de beaux vêtements des mille et une nuits et ça me faisait rêver. Je la sautais sauvagement dans un décor de rêve.
Par la suite, j'ai essayé de venir beaucoup plus tard. La tactique était bonne, je voyais désormais presque chaque fois ma petite princesse. Avec le recul, j'ai l'impression que je me suis montré un peu moins professionnel avec mon élève, mais ce n'était pas de ma faute si sa sœur était un canon après tout. Celle-ci n'était pas aveugle, elle était consciente que je la dévisageais chaque fois que je la voyais, sans même me cacher. Elle me regardait aussi mais son petit air têtu faisait que je n'arrivais pas à savoir si je l'intéressais ou non.
Un mardi soir, je suis venu pour travailler avec Tarik, mais pas de trace de sa sœur. J'étais un peu étonné car normalement, je la voyais désormais à chaque fois. Tant pis, au moins cela me permettait de me concentrer. J'ai fini tard et j'ai quitté l'appartement déçu de ne pas avoir pu me rincer l'œil. En plus, je devais rentrer de nuit en traversant cette affreuse banlieue. J'ai longé l'immeuble et soudain j'ai entendu un :
-Pssssssssssst.

J'ai sursauté et j'ai cherché à voir d'où ça venait. J'ai vu une forme à l'entrée du garage. Il faisait trop sombre et je ne pouvais distinguer à qui j'avais affaire. La forme m'a fait un signe de la main pour me faire descendre vers elle. J'ai obéi machinalement, même si je me voyais déjà lardé de coups de couteaux par une bande de voyous. Je me suis donc approché et j'ai vu son visage grâce à la lumière d'un néon à moitié mort. C'était Noor. Quelle surprise ! Je ne savais pas quoi lui dire et restai silencieux. Elle, elle souriait et finit par me dire :
-T'as fini de me mater ?

Je suis resté abasourdi. C'était ça son entrée en matière ? Je ne comprenais mais trop ce qu'elle voulait me dire, si elle voulait juste me faire des reproches. Mais elle a vite éclairé ma lanterne.
-Ben oui, remue-toi un peu. T'attends quoi ?

Sans me laisser le temps de répondre (de toute façon, je ne trouvais rien à dire), elle poussa un grand soupire et me traîna par la main dans le garage. Aussi idiot que cela puisse paraître, je n'étais toujours pas rassuré, tant l'endroit était glauque. Elle m'a fait entrer dans un box pour voiture et a enlevé sa chemise. Elle avait un beau soutif noir avec de la dentelle. C'était donc ça les milles et une nuits… J'avais imaginé le décor autrement, mais ce n'était pas très grave. Je me suis appuyé contre une pile de pneus et elle est venue contre moi. Elle a plaqué ma tête contre ses nichons que je me suis mis à sucer comme un beau diable. Quelle chance j'avais de pouvoir lécher de telles merveilles. Je sentais ma bite prête à culbuter cette salope qui avait joué à la petite fille sage. Je lui ai arraché les soutif et je me suis mis à lécher son cou comme un gros porc. J'étais tellement ravi de me faire cette beauté si facilement que je ne me maîtrisais plus. Je me suis relevé, la main fouillant dans son pantalon. Elle avait un sacré cul, bien ferme et bien rebondi. Je m'imaginais déjà ma queue à l'intérieur de ce jeune fessier assoiffé de sperme.
Je l'ai culbutée contre la voiture qui était sagement rangée là et qui n'avait rien demandé à personne. Elle resta couchée sur le capot et je puis lui ôter ses vêtements du bas. Quelle élégance, un ticket de métro.Je crois que ma langue pendait déjà et je me suis jeté sur la chatte qui, comme j'ai pu vite m'en apercevoir, avait un goût des plus appétissants. Je l'ai léchée un bon moment tandis qu'elle promenait ses mains sur ma tête et ses bons nichons. Puis, n'y tenant plus et excité par ses petits cris de chienne, je me suis relevé et lui ai enfilé ma bite dans sa chatte humide sans autre force de procès. Je me suis agrippé à son buste pour la pénétrer bien fort alors qu'elle continuait à appuyer sur ses seins comme une folle. Lorsque j'ai senti ma sève monter, je me suis retiré et j'ai éjaculé sur son ventre. Cette hystérique a alors bondi sur moi pour pouvoir lécher les quelques gouttes qui restaient. Je suis resté debout et elle s'est mise à genoux. J'avais besoin de faire un break, mais la belle jeune femme ne voulais pas en rester là et s'est mise à me lécher les couilles avec gourmandise.
Rapidement, je suis senti de nouveau assoiffé de cul et elle l'a vu cette furie. Son sourire malicieux en disait long sur ses intentions. Je n'étais pas prêt de quitter ce box. Elle m'a machinalement tendu son fessier, comme si ça allait de soi. Et je ne me suis pas fait prier. J'y ai été directement avec deux doigts.

Ce qui restait de ma salive et le sperme qui s'était écoulé là me facilitèrent la tâche. Et rapidement, je pus enfiler ma queue en plein renouveau dans son anus prêt à l'emploi. J'ai planté mes griffes dans son beau cul de salope tout en la pénétrant sauvagement. Elle a poussé un monstrueux cri mais aussitôt après, elle s'est mise à onduler son corps comme une danseuse pour mieux sentir mon engin s'appuyer contre ses parois anales. J'ai posé mes mains sur ses épaules et me suis mis à la tirer contre moi. Elle hurlait comme une chienne. J'ai empoigné ses nibards et j'étais encore plus excité. Elle a avalé trois de mes doigts pour les sucer de façon très sensuelle. Je la regardais faire et imaginais ma queue à la place de ces doigts tout en lui défonçant le cul avec énergie. Pour terminer, je me suis allongé sur elle et nous avons faire un beau vacarme en baisant comme des fous sur cette bagnole. Pour qu'elle ait se quoi mettre dans sa bouche cette fois, je me suis mis à genoux sur elle et lui ai envoyé la sauce en pleine tronche. Elle faisait de rapides mouvements de la langue pour mieux capter un maximum de la pluie blanche qui tombait sur elle.
Nous ne nous sommes rien dit ensuite. Elle a regardé sa montre et est partie en me faisant en grand sourire. Je lui resté dans le garage un petit moment, reprenant mon souffle et essayant de réaliser que je venais d'exaucer mon fantasme. Mais je n'étais pas rassasié, car il nous restait bien des choses à faire et un cul comme ça, c'était une vraie bénédiction. Je me réjouissais déjà de revenir donner une leçon à Tarik.

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