Institutrice mure avec une forte poitrine
Le bac approchait et je nétais pas du tout prêt. Jessayais de dissimuler cela à ma mère, sinon elle aurait fait une crise. Déjà que javais dix-neuf ans car javais doublé ma première Mais lorsque du jour au lendemain, je me suis enfin mis à réviser comme un fou, elle a bien compris que javais des problèmes. Pour une fois, je dois reconnaître quelle a été philosophe. Elle ma demandé quelle était la matière avec laquelle javais le plus de soucis. Je lui ai répondu sans hésiter que cétait le français. En effet, nous devions surtout connaître parfaitement luvre de Proust, et à part la scène des fameuses madeleines dont javais lu lexplication dans un article de revue littéraire, je ny comprenais absolument rien.
Quelques jours plus tard, elle ma dit quelle avait contacté une amie à elle qui était professeur de littérature. Elle était daccord de me donner un coup de main. Nayant rien à perdre, jai remercié ma mère et jai appelé son amie, Viviane. Jai été très surpris au téléphone car elle avait une voix assez jeune, alors quelle avait pourtant le même âge que ma mère, plus ou moins, cest-à-dire environ quarante-cinq ans. Elle ma dit de venir chez elle le dimanche après-midi.
Le jour dit, je me suis rendu chez cette dame avec mes affaires de français et quelques livres. Elle habitait dans une charmante petite maison un peu décrépite toutefois, recouverte par des tonnes de lierre. Jai sonné à la porte et elle est rapidement venue mouvrir. Vivianne était une femme de petit taille, avec des cheveux plutôt longs, teints en roux, assez maquillée et - je dois reconnaître que ça ma frappé dentrée - une magnifique poitrine. Elle ma prié dentrer de façon très charmante et je suis entré chez elle. La décoration était assez vieillotte, mais ça avait son charme, surtout en pleine ville.
Viviane ma fait asseoir dans son salon, devant une vieille table en bois assez chic. Jai posé mes affaires, prêt à travailler. Mais mon prof particulier ne semblait pas pressé de me faire réviser. Elle a commencé à me poser des questions personnelles, et comme je la trouvais sympathique, je me suis lancé dans la discussion. Jai pensé que cétait sans doute de la pédagogie, quelle souhaitait me connaître et me mettre à laise avant de bosser réellement.
Ensuite, elle a dit que nous allions nous mettre au travail. Jai ouvert mon cahier, sorti le bouquin de ce sacré Proust, et jai pris mon stylo. Viviane sest levée et sest mise à tourner autour de la table en me parlant de lauteur. Jai senti ma main se poser sur mon épaule pensant que je prenais quelques notes. Elle était vite affectueuse, cette femme-là. Elle lâcha mon épaule et se remit à tourner autour de la table. Je lai regardée et je me suis dit que ça ne me dérangerait pas de me la faire car elle était drôlement bien roulée, mais je devais sûrement me faire des idées. Je ne voyais pas ce quelle pouvait trouver à un minet comme moi.
Rien de louche ne se passa plus durant une vingtaine de minutes. Malheureusement, jétais trop intrigué par létrange manège de cette femme, attirante malgré son âge déjà avancé, pour pouvoir me concentrer sur ce quelle me disait. Elle a dû sen rendre compte, car à un moment, elle ma mis ses deux mains sur les épaules et a approché ses lèvres très maquillées de mes oreilles pour me dire doucement de me concentrer. Je me suis ensuite efforcé de travailler, mais dès quelle se remettait à marcher dans la pièce, javais de la peine à ne pas fixer mes yeux sur son cul qui semblait encore bien ferme. Je me demandais pourquoi je ne me levais pas pour aller lui défoncer larrière-train immédiatement. Elle semblait seule ici. Jétais convaincu quelle ne dirait pas non à se faire sauter par un jeune homme bien vert. Mais je me disais ensuite que jétais idiot de penser à des choses pareilles et que je devais passer mon bac.
Le temps a passé et il était temps que je men aille. Jai rassemblé mes affaires, je me suis levé et nous nous sommes dirigés vers la sortie. Elle se tenait près de moi et jétais très embarrassé. Elle avait un sacré charme, et la façon dont elle me regardait mintriguait beaucoup, je ne savais comment linterpréter. Afin de briser le silence qui régnait pendant que nous nous regardions fixement dans son vestibule, je lui dis :
-Combien vous dois-je ?
Elle rit doucement et me répondit :
-Allons allons, ce fut un plaisir pour moi de taccueillir.
-Jinsiste.
Elle me regarda droit dans les yeux et me dit :
-Hum, cest ta mère qui ta dit de me payer, nest-ce pas ? Je la connais trop bien.
Je me suis mis à balbutier :
-Heu, eh bien, heu oui mais elle a raison, cest normal.
Elle sapprocha de moi et me mit carrément sa main droite sur le cul.
-Viens, nous allons nous arranger dune autre façon. Tu peux te rendre utile.
Elle me prit la main et me tira carrément jusquau salon. Jétais revenu à la case départ.
Elle se déshabilla et me dit :
-Allons, viens, ne sois pas timide.
Je mapprochai delle, complètement tétanisé. Je navais guère lhabitude de me trouver en pareille situation. Elle me prit les mains avec vigueur et les colla sur ses seins. Elle me demanda ?
-Est-ce que tu les aimes ?
Je lui répondis que oui, et beaucoup. Je nétais vraiment pas à laise mais mourrait denvie de la prendre par tous les trous. Je crois quau fond javais peur de ne pas être à la hauteur de cette femme expérimentée. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle me dit :
-Allons, allons, il faut te détendre. Laisse-toi aller, je vais te guider.
Elle me dit la main entre les jambes et constata que jétais prêt à la pénétrer. En effet, je bandais comme un cheval. Elle se retourna et, comme si javais eu peur daffronter son regard, je suis enfin passé à laction. Jai collé mon bassin contre son cul et me suis agrippé à ses seins. Je me suis mis à les caresser sûrement assez maladroitement et à lui embrasser le cou. Malgré tout, elle semblait contente. Elle me sentit remuer le bassin toujours plus fort contre ses fesses et me dit :
-Et mon cul ? Est-ce quil te plaît.
Je lui répondis que oui et lui mis la main sous sa culotte. Jai commencé à lui caresser le pubis puis le clitoris avant quelle ne tourne son visage vers moi pour me dire :
-Je veux que tu me prennes, sur cette table.
Elle ôta son soutien-gorge et sa culotte et monta sur la table. Je voulus limiter, mais elle me montra du doigt son armoire.
-Porte de gauche, petite boîte rouge. Prends le tube de lubrifiant qui sy trouve. Tu vas en avoir besoin. Naïf et inexpérimenté comme je létais, je nai pas compris ce quelle voulait, mais jai obéi. Ensuite, je suis monté sur la table et jai enfin eu lhonneur de pouvoir lembrasser, sans cesser évidemment de lui caresser les seins. Elle ma un peu caressé la bite puis elle ma dit dun ton sec :
-Sodomise moi !
Cétait donc ça, le lubrifiant. Je suis resté dans le vague quelques instants. Je navais jamais fait ça de ma vie, mais je crois que par la suite, je me suis pas mal débrouillé.
-Caresse-moi lanus avec un peu de lubrifiant. Voilà, comme ça.
Je faisais tout ce quelle me disait. Quel beau cul elle avait. Javais hâte de faire des mouvements de va et vient contre ces fesses fermes et bien rebondie, javais hâte de me tenir sur elle et de la maîtriser à coups de hanche, tout en la caressant.
-Pénètre-moi avec un doigt.
Jobéis et mappliquai. Le temps me parut très long. Au bout dun moment, je pris linitiative denfiler un deuxième doigt.
-Huuum, cest bien. Continue
Lorsque jai eu limpression que son anus était bien dilaté, jai empoigné ma queue encore rigide malgré lattente et lai dirigée vers lobjectif. Jai enfoncé lengin et me suis allongé sur le corps qui soffrait à moi. Jai aussitôt ressenti quelque chose de totalement nouveau. Je suis resté inactif pendant quelques secondes, puis jai repris mes esprits et me suis défoulé dans le cul de cette vieille salope, maccrochant tantôt à ses épaules, tantôt à son cul et tantôt à ses gros nibards. Mes genoux défonçaient la pauvre table et Viviane hurlait comme une truie. Lorsque jai senti venir léjaculation, je lui ai encore donné quelques violents coups de bassins. Je me suis retiré et elle, que je croyais épuisée, sest jetée sur moi, ma embrassé sans retenue tout en me griffant le torse et me mordant le visage entre deux baisers.
Je me suis rappelé que lheure tournait et quon mattendait chez moi. Je me suis excusé, rhabillé et jai dit au revoir à Viviane. Elle ma répondu :
-A bientôt ! Ma chatte tattend.
Je lui ai dit « ok », et je suis parti.