Souvenirs et fantasmes d'Asie
Une petite histoire cochonne ? Un beau jour d'avril, je décidai de fuir la folie de Bangkok où je séjourne depuis une semaine pour m'exiler dans un petit village isolé des plaines thaïlandaises. Comme chacun sait, la capitale est comme un piège qui se referme sur vous ; on y passe facilement trois jours sans dormir, visitant tour à tour les temples, les parcs, les pubs, les salons de massage, les discothèques, les stades de boxe, baisant plusieurs filles par jour (les filles se chargent de vous draguer, vous laissant ainsi toute votre énergie pour leur défoncer le cul). Ainsi j'avais décidé de laisser ma queue se reposer quelques jours.
Après m'être installé dans un petit bungalow au bord de la rivière Kwaï entouré de canne à sucre et de bananiers, je sortis me promener, goûtant l'air frais du soir. Passant devant un petit bar à ciel ouvert, j'entendis que l'on m'appelait :
- Eh, viens par là jeune homme ! (J'avais à cette époque-là vingt ans)
Je me retournai et vis un groupe de vieilles Asiatiques qui me faisaient de grands signes.
« Allons-y, je ne risque pas grand-chose » me dis-je.
C'est ainsi que je bus quelques verres de Singha Bier avec les tenanciers du bar ainsi qu'un Anglais d'une quarantaine d'année. Je discutais innocemment avec ces gens quand soudain je l'aperçus, elle ; une toute jeune serveuse, sourire radieux, teint foncé et une poitrine fort généreuse pour une Asiatique. Elle était en train de se faire harceler par de vieux et gras touristes américains.
« Je ne peux quand même pas laisser faire ça ! » pensais-je, et je me dis que j'allais devoir reprendre du service.
Je la fis venir vers moi et engageait la conversation ; j'appris qu'elle s'appelait Say Run, qu'elle avait 18 ans, et qu'elle travaillait là depuis peu. Elle avait l'air très heureuse de pouvoir parler avec moi car les jeunes voyageurs étaient rares dans la région. Elle me fit faire la connaissance d'une autre serveuse de 32 ans et je me dis que cela tombait bien, qu'avec l'Anglais nous allions nous en prendre chacun une. Je pensais qu'il avait compris le plan, seulement allez savoir pourquoi cet abruti leur dit :
- Ce gars-là il veut deux filles pour ce soir !
- Et qu'est-ce que tu ferais si tu avais deux filles pour toi ? Me demandèrent-elles amusées.
- Vous verrez bien ! Leur répondis-je, entrant dans le jeu.
- Ok, allons-y !
Je fut surpris et devint quelque peu nerveux : Elle n'avaient pas l'air de rigoler ! Mais je me devais d'assumer mes paroles et l'idée de réaliser l'un de mes fantasmes me donna de l'assurance. Je quittai le bar avec une fille à chaque bras, ce qui ne manqua pas d'impressionner la bande des joyeux alcooliques.
En chemin j'observai le contraste qu'il y avait entre les deux filles ; Sayrun était la plus grande, tout son corps était ferme et respirait la jeunesse, ses fesses étaient rebondies, sa taille serrée. L'autre - dont je n'ai jamais su le nom était un peu plus petite. Son bassin était large, ses formes plus douces, plus matures.
Nous arrivâmes assez vite à mon bungalow et parvînmes à y pénétrer sans nous faire voir par les propriétaires qui habituellement n'aiment pas trop ce genre de choses. La plus vieille s'allongea directement sur mon lit, la jeune était restée debout près de moi. Ne sachant pas vraiment par où commencer, je la pris contre moi et commençai à l'embrasser tout en lui caressant les seins par-dessus son pull : Ce contact ferme me fit bander immédiatement. Je continuai, lui caressant la chatte par-dessus son pantalon, lui agrippant une fesse de l'autre main, appuyant avec mes doigts dans sa zone anale. Je commençais à déboutonner son jean, à lui glisser ma main sous son string et à lui caresser le clitoris quand elle me repoussa gentiment :
- Tu ne veux pas t'occuper de ma copine ?
Je cru comprendre que la tradition voulait que les femmes d'expérience soient servies en premier. Je m'allonge auprès d'elle ; elle me sauta immédiatement dessus, empoignant ma queue et me branlant sauvagement pendant que je déboutonne son chemisier et commençais à lui manger les seins. Elle se mit à me déshabiller. Elle-même ne portait ne portait plus que sa jupe. Quand elle passa au dessus de ma tête en enlevant mon t-shirt je vis qu'elle ne portait pas de culotte et que sa chatte était déjà ouverte, la cyprine coulant légèrement le long de ses cuisses. Elle repassa au dessus de moi, pris ma bitte et se l'enfonça profondément. J'étais resté allongé sur le dos et elle me chevauchait à l'envers ainsi que son dos et son cul à peine caché par sa jupe me faisaient face. Elle commença à bouger, de haut en bas, d'avant en arrière, de gauche à droite, faisant des cercles, des losanges, secouant son gros cul, s'agrippant à ses seins, hurlant comme une furie.
Tout en la matant s'agiter ainsi j'aperçus Say Run qui était assis sur la chaise à côté du lit et nous regardait en se mordant la lèvre inférieur. Elle avait ouvert sa chemise juste assez pour en sortir ses gros seins, elle se les caressait et les léchait lentement en poussant des petits gémissements d'envie. Puis cette vicieuse enleva son pantalon, passa sa main sous son string rose et commença à se caresser, enfonçant ses longs doigts dans sa chatte tout en suçant l'index de son autre main.
Pendant ce temps l'autre s'était mis à bouger plus vite, criant comme une grosse chienne. Je calmé une envie naissante d'éjaculation en lui envoyant de violentes fessées.
Je portai à nouveaux mon attention sur Sayrun : Elle me fixait du regard. Elle enleva son string humide et commença à se frotter contre l'accoudoir de la chaise, la tête en l'air, se laissant aller à de plus grands gémissements. Je lui fis signe de s'approcher. Je la pris par les cuisses et la fit s'asseoir au dessus de mon visage. Je lui léchait le clitoris tout en lui doigtant la chatte et l'anus où je n'avais aucun mal à passer tant la cyprine coulait à flot, et elle tout en jouissant de plus belle enfonça deux doigts dans le cul de sa collègue qui ne semblait maintenant plus très loin de l'orgasme. En effet elle se mit à hurler des choses incompréhensibles en thaïlandais que l'on devait certainement entendre à plusieurs kilomètres à la ronde et m'envoya des coups en contractant sa chatte, chose qu'elle ne semblait pas totalement maîtriser. J'avais de plus en plus de mal à me retenir quand elle s'immobilisa en un dernier cri sonore, avant de s'effondrer sur moi. Je profitais de cette pause soudaine pour me concentrer sur Sayrun qui bien qu'elle prenait beaucoup de plaisir était plus timide et discrète que sa copine.
Cette dernière repris ses esprits, alla derrière Sayrun, la fit s'allonger en avant et la força à prendre ma bitte dans sa bouche. Elle lui poussait la tête, dirigeant la vitesse à laquelle la jeune chaudasse me suçait. Ce fut trop ; je ne pu me contenir plus longtemps et lui envoya tout dans la bouche. Elle se mit à gémir la bouche fermée pendant que j'éjaculais, avalant tout jusqu'à la dernière goutte.
Elle se déplaça de l'autre côté du lit mais resta à quatre pattes la tète en bas, l'autre la soumettait toujours. Elle la doigtait par tous ses orifices. Puis elle s'empara de ma bombe de mousse à raser qui traînait sur la table en face du lit et la lui enfonça dans la chatte. Elle semblait adorer commander tout ce qui se passait et défoncer sa jeune amie qui commençait enfin à crier de manière significative.
Il ne me fallut pas longtemps pour reprendre mes esprits ; la vue de ces deux petites putes m'excitait trop. En quelques minutes je bandais déjà comme un taureau. La plus vieille le remarque ; elle m'attrapa par la queue, me tira derrière Say Run et me fit comprendre qu'elle voulait que je l'encule. Elle lâcha la bombe de mousse qui tenait toute seule pour pouvoir écarter à loisir les fesses de sa copine pendant que je forçais pour la pénétrer. Puis elle se remit à la troncher avec son ustensile pendant que je défonçais son cul de chienne. Cette fois la petite coquine avait perdu toute sa timidité, elle hurlait comme une folle, enchaînant plusieurs orgasmes.
Je me défoulai sur elle avec l'énergie qui me restait et, le contact de ce jeune anus étroit aidant, j'en arrive assez vite à une nouvelle éjaculation que je déchargeait à la surface de ses fesses pendant que la plus vieilles les lui léchait. Je n'en pouvais plus.
Les filles étaient également fatiguées et nous nous endormîmes tous dans un mélange de salive, de transpiration, de cyprine et de sperme.
Le lendemain, après une bonne douche, j'eus à m'expliquer avec le propriétaire des lieux du fait que j'avais réveillé tout le quartier mais peu m'importait ; j'avais passé une des meilleures nuits de ma vie. Si un jour vous croisez mon ami anglais, remerciez-le de ma part !