- Récit érotique
- /
- Récit lesbien
- /
- Elle suce mon clito...
Elle suce mon clito jusqu’à l’extase

Venez découvrir les détails de mon aventure lesbienne.La boîte de nuit : cocktail subtil de bruits inaudibles. Conversations muettes, rires ponctuels ; ils couvrent à peine la musique diffusée par le maître de cérémonie. Et puis, la piste. Ou plutôt les pistes. La pluralité des lieux s'accompagne d'autant de styles musicaux. Le volume de l'un rivalise de mépris avec son voisin. Enfin, la foule ; elle fourmille de l'entrée jusqu'au bar, en traversant chaque piste à la recherche d'un flirt éphémère, et finit par s'effondrer inexorablement sur les fauteuils et les canapés disposés en nombre autour de la scène. C'est ainsi que peut se définir l'Aphrodisonia.
Ce soir-là, au milieu de ces corps qui gesticulaient, se déhanchaient, ou essayaient vainement de marquer un rythme effréné, j'évoluais sans pudeur au centre de cette scène mouvante. Ondulant sur mes formes, froissant mes tissus des hanches à la tête, mimant la souffrance d'un plaisir ascendant, je me jouais de ma timidité, allumant de ma seule personne le désir masculin de mes proches voisins. Amusée par la complicité dont faisaient preuve certains, je me frottais un instant à eux, avant de rejoindre aussitôt celui pour qui je m'étais jurée fidélité : mon petit ami. Je l'aimais, et l'aimais à le taquiner et le rendre jaloux de mes fantasmes. Il détestait mes manières, mais se réjouissait toujours de me voir revenir vers lui. L'émotion était partagée.
Après quelques heures d'efforts, mêlant l'art au plaisir et délaissant mon tendre cavalier, je gagnais un groupe d'amies que nous avions accompagnées. Elles avaient également abandonné leurs mâles partenaires, pour venir sautiller au rythme lancinant de cette musique jamaïcaine. Je me joignais à elles, les imitant aussi maladroitement. Tout à notre affaire, nous remarquions les célibataires postés contre le mur. Les uns et les unes scrutaient l'horizon, cherchant un improbable espoir, un verre vide à la main. Les autres patientaient intelligemment que leurs accompagnateurs terminent de s'amuser. Non loin, sur les gradins, quelques curieux ne cessaient de lorgner nos formes bombées, à peine couvertes par un milimètre de tissu. Nous commentions ces présences d'un regard amusé. Intérieurement, nous nous réjouissions de la perte de nos solitudes.
Une vague de nouveaux clients assoiffés de sueurs envahit la piste où nous nous trouvions. On m'écarta du groupe. Je m'éloignais malgré moi, partais à la dérive, seule. Je me sentis soudainement perdue au milieu de ce tumulte de corps inconnus qui se déhanchaient avec dédain. J'apercevais brièvement le visage de l'une de mes amies. C'était juste une illusion. Quand elles échappèrent définitivement à mon regard, la présence d'une jeune femme brune s'imposa à moi, naturellement. Je ne l'avais jamais vu avant ce soir. Curieusement, sa personne m'était familière. Elle épousait mes mouvements, se prenait à mon jeu de hanches, plaisamment. Complicité passagère, agréablement vécue. Quelques minutes s'effacèrent de mon esprit, jusqu'à ce que mon petit ami surgisse par derrière. Il me prit par la taille, et invitait ma partenaire à nous rejoindre. En ménage à trois, nous dansions l'un contre l'autre.
Etonnamment, à mesure que les distances diminuaient, les yeux bleus de cette présence brune m'ensorcelaient davantage. J'en oubliais presque le public si nombreux, mes copines invisibles, jusqu'à celui qui partageait ma vie, alors si près. Les tissus fins, qui nous protégeaient à peine des interdits, se froissaient au hasard des mouvements, découvrant nos chairs d'un centimètre, parfois deux. L'obscurité, qui nous protégeait, dessinait à présent ma silhouette, innocemment. Des mains remontaient le pantalon, atteignaient déjà la taille dénudée, à quelques centimètres d'un tshirt déchiré, fin et inconvenant la morale. Un contact électrisa mes sens, illuminant mon regard. On l'interrogea silencieusement, profondément. Pour toute réponse, je cessai de danser. Alors, celles qui avaient longées mes formes en reconnaissance, plongèrent sous ma deuxième peau, prenant à pleine main cette chair, que j'avais interdite aux caresses des inconnus. Surprise, curieuse, je ne la repoussai pas. Elle s'éclipsèrent l'instant suivant.
Derrière, on n'avait rien vu. La lumière diffuse ne dévoilait qu'une partie de la vérité. Mon regard remercia cet instant de plaisir par un sourire. Et ma complice, de s'approcher si près, que nos deux visages, l'espace d'un éclair, ne firent qu'un. Ce fut... nouveau. Je n'osais à mon tour contourner les règles, mais elle m'invita à la rencontrer plus intimement. Elle non plus, ne portait pas de soutien-gorge. Ils étaient bombés, mais fermes, et doux aussi. Je sentais les mamelons se durcir. L'instant d'après, sa langue conquérait la mienne. Sa respiration haletante n'était pas uniquement le fruit de nos efforts conjugués. C'était court, et violent à la fois. Mais déjà la musique s'arrêtait, laissant place à une mélodie moins envoûtante. Derrière, on ne soupçonnait toujours rien. Quelle audace !
Je partis brutalement en arrière. D'un coup d'oeil, je remarquais ce bras qui m'emprisonnait. Mon petit ami m'entraînait par la taille vers les fauteuils, là où la pièce plongeait dans l'obscurité. Il m'arrachait à regret à cette présence féminine, brisant le lien fragile qui nous unissait. Malgré cela, je ne pouvais détourner le regard de son visage. La silhouette s'éloignait de moi, se jouant des spots azimutés, et des effets sinuzoïdaux, dont les rayons zébraient la brume en la caressant, sans se briser. Soudain, je la vis disparaître derrière l'ombre d'une foule envahissante et malvenue. Cela m'attrista.
Je me retrouvais bientôt assise sur un canapé. Celui qui m'avait enlevé dénoua son pull, qu'il portait sur les épaules, avant de le poser sur le côté. Il était en nage. Je l'étais également. Autour de nous, autour des tables basses, d'autres couples, ou d'autres individualités solitaires assises, ou sur le point de s'allonger, observaient les allentours. Quelque chose attira mon regard. Un couple, sur une banquette voisine, s'agitait en cadence. La scène me captivait. C'était surprenant. Faisait-il vraiment l'amour, au milieu de cette foule, semble-t-il, indifférente ? Je risquais un regard. J'en fus doublement surprise. J'en informais mon mâle partenaire. A son tour, il se pencha pour mieux voir. Cela le ravissait. S'approchant de moi, au creux de l'oreille, il me proposa l'impensable. Mais je refusais catégoriquement.
Quelques minutes passèrent, il insista. Ma voisine portait une jupe, pas moi. La sueur collait le tissu de mon pantalon, mais ce n'était pas une raison suffisante pour me l'enlever en public. A côté de nous, la jeune femme appréciait son amant. Je crois que j'étais la seule à m'en rendre compte. Soudain, ma main voyagea jusqu'au pantalon le plus proche. On me demandait de céder du terrain. Je la retirais sans tarder. Quelques gémissements parvenaient à mes oreilles. Le dénouement était proche. On m'interrompit encore. On se proposait d'utiliser le pull pour me cacher. Je regardais mon petit ami enthousiaste, et la foule. La nuit me protégeait déjà un peu. Mais j'étais intimidée. Il insista, préparait le terrain en dégrafant son pantalon, et en le recouvrant avec le pull. Je regardais à nouveau autour de moi, peu rassurée. La foule était loin. Derrière nous, le couple avait cessé de battre la mesure. Je sentis un bras m'inviter avec insistance. Finalement, je me penchais sur mon ouvrage.
Consciencieusement, protégée par cette mince frontière textile, je happais profondément, mais délicatement, la chair dressée et frémissante. Ma langue ne pouvait s'empêcher de la lover pour accentuer le plaisir, mais également pour abréger ce supplice. Quelle honte, si quelqu'un venait à nous surprendre. Bien vite, on m'appuya de ses mains. La pression montait à chaque nouvel assaut. Ca y est ! On m'inonda de ses fluides. S'échappant par une ouverture entre mes lèvres, ils glissèrent le long de la hampe, qui perdait peu à peu de sa superbe. On avait apprécié mon travail, on avait critiqué mon refus. Sans importance, je me relevais, satisfaite d'en avoir terminé avec cette besogne. Autour de nous, personne n'applaudissait, mes copines étaient tout aussi invisibles. J'avais fais vite, en toute discrétion.
En réalité, cette sensation nouvelle et si forte, que l'on m'avait fait connaître furtivement quelques minutes auparavant sur la piste, me manquait douloureusement. Je n'avais fait qu'occuper mon impatience à vouloir la retrouver. Un coup d'oeil à mon partenaire m'informait de sa fatigue. Je l'abandonnais, et repartais affronter la foule...
Une première piste passée au crible m'invitait à explorer la suivante. La musique y était plus rétro, plus romantique. Effet du hasard, les jeux de lumière rendaient la pièce plus complice de mon imaginaire. Après plusieurs incursions au mileu de ce dédale de corps en mouvement, je fus récompensée. Je retrouvais enfin mon inconnue. Elle était là, devant moi, et de dos. Une inconsciente attirance lui demanda de se retourner. Ses yeux me fixèrent, me parlaient de joie, de bonheur partagé. Comme par enchantement, le D.J. avait programmé un slow. Le sourire qui illumina son visage m'invita à l'embrasser. Sans fausse pudeur, je peux avouer qu'elle embrassait alors mieux que tous les hommes que j'avais croisés. Sur l'instant, je n'avais pris aucune précaution, oubliant jusqu'à mes copines toutes proches, à peine quelques mètres. J'ignorais la réalité, et m'émerveillais de la douceur qui m'accueillait dans ses bras. Je n'osais imaginer meilleure fin de soirée. Pourtant, elle se séparait déjà de moi, gardant ses bras autour de mon cou. D'autres baisers ponctuèrent la conversation de nos regards, avant qu'elle ne m'entraîne par la main vers un lieu inconnu.
Coïncidence extrême, nous arrivions au milieu même des fauteuils où je m'étais assises quelques minutes auparavant. Non loin de nous, mon petit ami ne s'était d'ailleurs pas encore relevé de ma prestation. Apparemment, elle avait été plus qu'acceptable. Mais, je ne m'en souciais plus. Je retrouvais mon bonheur secret. Elle m'invita à m'asseoir sur un canapé, dans une allée plus sombre que les autres, si sombre d'ailleurs, que j'avais eu de la peine à la suivre. J'ignorais ses intentions, pourtant, j'en demandais tellement, que cela aurait effrayé n'importe qui. Elle s'assit près de moi, m'embrassant sans gêne. Sa main se déplaça sur mon pantalon, avant de disparaître sous le tissu supérieur. Ces nouvelles sensations, inconnues jusqu'alors, terrassaient mon équilibre. Je partais en arrière. Plus qu'enjoleuse, elle était une ensorceleuse. Et ce fut encore meilleur lorsqu'elle déboutonna mon pantalon, avant de plonger sa main, au delà de mes espérances. Je la laissais faire. Je la dirigeais par mes gémissements. Rapidement, repuse tant l'attente était grande, je soufflais dans son cou pour lui exprimer ma satisfaction. Son parfum m'ennivrait. Au plafond, des rais de lumière blanc, jaune, rouge traversaient le ciel de la pièce. Ils nous cherchaient, mais nous étions bien camouflées.
Nous nous redressions. Je ne me rhabillais pas. Je la repoussais en arrière, et lui remontais sa jupe de cuir. Je ne rencontrais aucune résistance. Une zone sombre entre ses jambes m'apprit qu'elle ne portait aucun sous-vêtement. Cachées par l'accoudoir et le dossier, le monde ne sut rien de nos nouveaux ébats. Je lui fis part de mes fantasmes, me surprenant à les pratiquer sur elle. Elle les appréciait. Sa curiosité comblait mes confessions. Ma générosité fut accueillie avec une délectation sans partage. Et contrairement à mon précédent refus, je goûtais les parfums du fruit qu'il m'avait été autorisé d'explorer.
Je l'appréciais plus que ma raison ne pouvait l'accepter. Etais-ce possible ? A cet instant, mes lèvres flirtaient avec les plus intimes d'une femme. C'était anormal, inouï, à peine croyable. Pourtant, mes sens ne s'y refusaient pas, bien au contraire.
Assise, et penchée sur le corps de mon amante, j'en oubliais la présence du couple assis derrière le dossier. Ma langue plongeait à la découverte de ce monde obscur, tandis qu'une main caressait ma chevelure, traduisant les sensations que je prodigais. Soudain le corps se contracta. Les cuisses se refermèrent brusquement. Je poursuivais sans discontinuer, m'aidant de mes doigts pour en savoir davantage. Rien ne put alors lui faire plus plaisir... J'étais en elle, nageant au milieu de la tempête que j'avais déclenchée. Les muscles se relâchèrent. Je découvrais penchée sur moi, le corps en nage d'un bonheur atteint. Elle m'attira à elle, pour m'embrasser, et partager mon effort et ma récompense. A mon tour j'appréciais sa générosité.
Le couple voisin se dédoubla. S'ils avaient remarqué un bruit suspect, ils n'en avaient pas fait état. Merci de votre politesse. Les deux couples bavardaient bruyamment. Fort heureusement, le quatuor se termina bien vite. J'oubliais déjà leur départ, me tournant vers ma nouvelle petite amie. Elle réajustait sa jupe, coupable de ne pas l'avoir fait plus tôt. Je m'apprêtais à reboutonner mon pantalon, mais j'en fus empêchée. Elle m'invita à prendre sa place. Etrangement, cela me gênait. Non, en réalité, j'étais inquiète. Et si on nous voyait, qu'un couple arrivait et qu'il nous surprenait ? Mais, l'intrépide inconnue rit de mes angoisses, et avant que je m'allonge complètement me retira mon t-shirt de toile. Torse nu, que dis-je, poitrine nue, offerte à tout venant, tous mes sens étaient en alerte. Par précaution, je me protégeais avec mes mains, mais on s'attaquait à mes chaussons ; puis mon pantalon, qui glissa sans résistance. Je n'osais regarder autour de nous, j'étais terrifiée. Ma culotte suivi le même chemin et atterrit sur le canapé.
J'étais nue, totalement nue, avec une foule de curieux, avides de sensations et de voyeurisme à à peine quelques mètres. Mais, elle me recouvrit de son corps, protégeant temporairement mon intimité. Elle caressa mon regard de sa vague azurée, et me rassura d'un baiser. Dès lors, elle ne parla plus qu'avec ses lèvres. Elle s'adressa d'abord à mes joues, réchauffées par nos émotions ; puis mon cou, partiellement humidifiée par l'effort ; puis ma poitrine, qui se dénudait à mesure qu'elle venait à converser avec les pointes de mes seins durcies. Mon ventre l'accueillit généreusement, avant qu'elle ne glisse sur ma forêt pubienne, pour atteindre, offertes, mes lèvres intimes, écartées par l'excitation. Je comprimais mes seins, me cambrant à l'extrême, plongeant ma tête dans le coussin pour m'étouffer. Soudain, mon esprit s'illumina au moment ultime. Une lumière aveuglante recouvrit ma conscience et mes cris, tandis que mon ventre s'inondait d'un bonheur, inconnu jusqu'alors.
Essouflée, mais heureuse, j'allais à la rencontre de cette créature qui avait su rallumer une flamme que je croyais éteinte. J'oubliais ma nudité, et laissais découvrir mon dos. Ma poitrine avait maintenant dépassé la ligne protectrice du dossier du canapé. A genoux, je relevais mon amante pour l'embrasser, et l'embrasser encore. Celle-ci, quoique ravie de ma satisfaction, me recommanda prudemment de me rhabiller. Je regardais autour de moi. Personne ne nous montrait du doigt, ou ne souriait en nous voyant, si toutefois il nous voyait. Je me retournais vers elle, et lui parlais d'un dernier baiser. L'obscurité nous cachait aux yeux du monde. J'étais heureuse. Enfin, j'attrapais mon t-shirt, ma culotte, ...
Elle s'appelait Marjorie.
Voir un autre article sur le thème Récit lesbien : Deux chattes en feu qui se dévorent
