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Femme adultère ou non ?

Comment, moi une femme mariée de 42 ans, je me suis retrouvée à genoux devant un gamin de 19 ans.

Je suis une femme mariée de 42 ans, enseignante dans un lycée, avec des enfants, une femme comme beaucoup d’autres et fidèle à mon mari, jusqu’à ce moment là.

Il me semble utile de décrire un peu le contexte de mon récit de cocu, qui est réel, quelques explications s’imposent :

J’ai une fille de 19 ans, elle a pas mal de copains ou connaissances sur Facebook, moi étant bien évidemment sur son Facebook aussi, je reçois beaucoup de demande d' »amis » de ses « amis », (je sais c’est un peu compliqué pour ceux qui ne pratiquent pas) et je les accepte assez facilement, ainsi que des anciens élèves qui me le demandent aussi, c’est plutôt assez sympa, et je connais la plupart de ses amis.

Quoi qu’il en soit, je me retrouve avec un « amis » de 19 ans, Anthony, un jeune métisse (plutôt mignon d’ailleurs), il me demande en dialogue sur ce même site, je discute avec lui et lui comme moi on s’aperçoit que non seulement on ne se connait pas, mais on n’a pas de connaissance commune (certainement le jeu d' »amis » d' »amis » sur Facebook.

Et c’est comme ça qu’on s’en amuse et sympathise,

Au bout de deux semaines, il a tendance à faire beaucoup d’allusions au sexe, et comme je marche dedans (sous forme de jeu), il finit par faire du rentre dedans sans prendre de gants, pour être franche, il me faisait mouillée comme une folle, mais bon, ça je ne lui disais pas, et au contraire, je lui est laissé entendre qu’il allait trop loin.

Je n’avais pas 20 ans, j’avais l’âge d’être sa mère et d’ailleurs ma fille avait son âge, en plus j’étais mariée, et je finis en lui disant (c’est la mon erreur) :

– En plus t’es un super beau mec, tu dis que tu es bien monté, alors tu n’auras aucun problème a trouver une jolie fille.

Après cette mise au point, il se calme, mais continue à sympathiser et finit par me donner son tél en me disant que ça serait plus sympa de se parler au tél que par écrit, j’ai pas tout de suite dit oui, mais pour faire court, et le courant passait bien (coté amitié), je l’ai appelé.
Et on a continué à s’appeler de temps en temps, toujours avec des allusions sur le sexe, mais assez modérées

Et il a fini (en insistant beaucoup) à demander à me rencontrer pour simplement rigoler ensemble en toute amitié. Je me doutais qu’il en voulait plus, bref j’ai d’abord refusé, répété que je ne cherchais pas du sexe….
Et de fil en aiguille, j’ai fini par accepter que l’on se voit, puisque je devais me rendre dans la ville ou il habitait pour faire les magasins. Donc pourquoi ne pas en profiter pour se rencontrer et boire un verre, nous sommes encore en saison et il y a plein de monde, donc peu de risque de se retrouver seuls tout les deux (j’habite sur la côte atlantique).
La saison amène bien évidemment des soucis de stationnement, on s’est donc donné rendez vous dans un parking couvert, plus facile de se trouver.

En arrivant dans le parking, je tourne un peu et je l’aperçois, Il m’attendait devant sa voiture, je me suis stationnée à coté et on s’est fait la bise, échangé deux, trois mots, mais aussi surprenant que cela puisse paraître, autant nos discutions au téléphone étaient riches de sujets, là plus rien, un blanc, la gène…

Et je sais pourquoi, il me dit en me fixant dans les yeux :

– Suce-moi, et commence à déboutonner son jean, sort son sexe !!!

Habituellement, je lui aurais envoyé une claque pour avoir sorti sa bite surtout, mais là, je ne sais pas pourquoi, je l’ai prise en main, il a appuyé sur mes épaules, je me suis mis à genoux et je l’ais sucé (c’est vrai qu’elle était belle, sans être surdimensionnée, mais plus longue que celle de mon mari, et surtout très épaisse).
Il a changé de ton aussi, en me prenant pour ce que je n’étais pas : « T’aime la bite toi », « J’adore baiser les salopes en manques » (je m’étais un peu trop confié à lui avant).

Je ne relevais pas, je prenais même du plaisir à avoir sa bite en bouche, et à chacune de ses paroles, je levais les yeux en le regardant, ma bouche sur son sexe.

Bien-sur je m’étais déjà caressée en m’imaginant être traité comme une salope par un beau mec, un fantasme, c’est tout et qui n’était excitant qu’en tant que tel, la réalité étant souvent plus violente et moins agréable.

Mais là, je n’étais plus une femme de 42 ans, mais une salope à genoux devant un gamin de 19 ans, sa bite en bouche.

Et d’un seul coup il me relève, et me dit :
– Je vais te baiser salope.

Et moi comme une conne, je ne lui dis pas NON, mais PAS ICI, CHEZ TOI
(Alors qu’il habitait chez ses parents, sur le coup mes pensées étaient un peu mélangées).

Il me dit :
– Ok on va pas le faire.

Puis dans le même temps, m’appuie face à la voiture, soulève ma jupe, je croyais qu’il allait me prendre, je ne sais pas si je me serais laissé faire, surtout ici dans un parking, mais je n’ai pas eu le temps de finir ma réflexion, que je sens un liquide chaud sur mes fesses et mes cuisses.
Il avait giclé sur mes fesses, sans prendre la peine de baisser mon tanga, j’étais là ma poitrine collée à la vitre passager de ma voiture, la jupe levée et retenue par sa main à la hauteur de mes reins, légèrement cambré sous la pression qu’il mettait à cette hauteur, laissant mes fesses moulées dans un joli tanga blanc en dentelles totalement à sa vu,

Avait-il giclé précipitamment sans avoir pu se retenir alors qu’il voulait me prendre ?
L’avait-il fait volontairement suite à mon refus de le faire ici ?

Je ne le serais jamais.

Il a lâché ma jupe qui est retombée sur mes fesses toutes recouvertes de son sperme, il m’en avait foutu partout, mon tanga était trempé, ma jupe collait, je sentais son sperme chaud couler sur mes cuisses (il avait du mettre une sacré dose ce petit con).

J’ai remis ma jupe comme je le pouvais en le traitant de sale petit connard, je suis remontée en voiture et suis partie aussi vite que j’ai pu, le sperme chaud se répartissant encore plus avec une impression de « colle » assise sur mon siège.

Sur le moment et les heures qui suivirent, j’étais honteuse d’avoir osé laisser ce mec me traiter comme ça, dans un parking, comme une vulgaire garce ! Comment j’avais pu !!!

Après quelque temps, je me suis persuadée que je n’avais pas trompé mon mari, simplement sucé, ce n’est pas trompé.
Mais je me surprenais à me caresser en y pensant, j’avais aimée !

C’était la première fois depuis mon mariage, était-ce la crise de la quarantaine ?

Ce jour là j’ai changée,

NB : Depuis je l’ai supprimé de Facebook et j’en ai plus jamais entendu parler.

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