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Coup de bite en boite de nuit

Je suis prêt pour a vous raconter mon histoire cochonne en boite de nuit. Minuit, je viens d'arriver au Macumba pour la plus grande soirée mousse de l'année. Mes potes et moi sommes tous habillés d'un simple pantalon, la douceur du temps nous a permis de tout laisser dans la voiture afin de s'épargner la queue au vestiaire. Après un tour au bar nécessaire qui me permettra de penser un peu moins à ma rupture récente avec Vanessa et au fait que cette pute s'envoie déjà en l'air chaque soir avec sa nouvelle victime, nous nous immergeons dans la mousse jusqu'à rapidement en avoir jusqu'au cou.

L'ambiance est déjà chaude ; la techno tribale et son rythme hypnotique mêlé aux milliers de litres de mousses qui tombent du canon en forme de bouteille de bière géante plonge tout le monde dans un état profond de transe. J'ai l'impression de participer à un bain moussant collectif ; je sens les corps des gens autour de moi, hommes et femmes, glisser sur le mien toujours dans le rythme. Etonnament, le contact d'autres hommes ne me provoque pas la répulsion habituelle, mais préférant de loin celui des femmes, je m'arrange pour être plus près d'un groupe de filles. Mes potes me suivent. Je sais consciemment que tenter de draguer serait déplacé et gâcherait cette ambiance, alors je continue juste à me frotter à elles, comme par hasard et elles me le rendent bien.

Un moment plus tard mon pote Sergei (un russe complètement fou qui avec la mousse qu'il a sur la tête me fait maintenant penser au Père Noël) me tire de ma danse torride et m'invite à participer à son délire bizarre. Muni d'un bonnet de bain, il s'amuse à faire de l'apnée à l'endroit ou la mousse est plus haute que la tête et à se balader d'un coin à l'autre de la piste de danse. Emporté par le son, je le suis, levant les bras au dessus de la mousse et les agitant en rythme. Après deux trois aller – retours, je perds sa trace. Je me rends compte qu'ils ont rallumé le canon à mousse à la puissance maximum au dessus de ma tête et que l'endroit où je pensais aller respirer n'est plus accessible.

Je commence à paniquer un peu, je tente de respirer par la bouche mais c'est l'erreur fatale, je tousse et cela me fait aspirer la mousse à nouveau, m'amenant au bord de la syncope. Soudain je me rappelle : respirer uniquement par le nez. Ce faisant le goût horrible de la mousse me rentre par le nez, j'arrive en effet à respirer un peu mais c'est difficile et je me dis qu'il faut que je sorte de là au plus vite.

Soudain, j'aperçois un élément de structure en alu.

-Sauvé ! Me dis-je.

Je grimpe deux ou trois échelons pour amener ma tête à l'air libre. Je suis en fait de l'autre côté de la piste, dans un coin plus sombre. Près du mur, la mousse est descendue, je décide d'aller me poser un moment par là-bas. J'aperçois un travesti à côté de moi qui est en train de me regarder d'un air con. Je lui rends son sourire mais m'éloigne un peu. Un peu plus loin je trouve une sorte de douche accrochée au plafond installée pour enlever la mousse de la figure. J'observe de loin le travesti ; un gars vient lui parler, il lui donne de l'argent. Le travesti se retourne et… non ! D'après les mouvements que je perçois, il se laisse enculer ! J'hallucine, un travesti prostitué… finalement je trouve ça assez drôle. En regardant plus attentivement je me rends compte que d'autres couples sont en train de s'ébattre, caché par l'obscurité et la mousse.

-Excuse-moi ! Tu me fais de la place ?

C'est une fille, dont je ne perçois que les yeux, qui vient de me tirer de mes observations. Je lui laisse un peu d'espace sous l'eau salvatrice. Bientôt, comme moi elle n'a de la mousse que jusqu'à la taille.

-Mais, on se connaît non ?

En effet, j'ai eu du mal à la reconnaître, mais cette fille est dans ma classe. D'ailleurs je me suis pas mal foutu de sa gueule, habituellement elle a vraiment le style blondasse, sur maquillée et toujours habillée comme une pute. Mais c'est vrai que là je suis troublé, toute détrempée comme elle est, elle a l'air tellement naturelle et sexuelle. Peut être que l'érotisme ambiant joue en sa faveur, je ne sais pas. Cette fille je ne lui ai jamais vraiment parlé mais déjà je la prends par la taille, la tirant sensuellement vers moi, prenant possession d'elle. En temps normal je m'attendrais à recevoir une baffe méritée mais ce lieu est magique, cela semble tellement évident qu'elle se laisse faire, et c'est elle qui m'embrasse la première.

Elle me pousse jusque contre le mur ou je m'assieds sur une espèce de rebord, la tête dépassant à peine de l'océan blanchâtre de mousse. Elle continue à m'embrasser sauvagement tout en se frottant contre mon torse et ma queue en érection. Je lui enlève son top, peu utile dans de telles circonstances. Le contact savonneux de ma peau sur ses seins est d'une sensualité extrême, sans aucune pénétration j'ai déjà l'impression de faire l'amour avec elle ainsi qu'avec toute la boîte de nuit. Soudain elle m'empoigne le sexe, l'extirpe de mon pantalon et le prend entre ses cuisses. A ce moment, je me rends compte qu'elle porte une minijupe. Pas si étonnant me dis-je.

Sans vraiment m'en être rendu compte, sans savoir si c'est la mousse où la cyprine qui m'y a aidé, voilà déjà que je me trouve à l'intérieur de sa chatte. Elle continue à glisser sur moi de tout son corps, elle semble partager mon état d'extase. Toujours accompagné par cette musique obsédante, nous semblons toucher enfin réellement au mythe sacré de la partouze universelle, ou tout ne serait que plaisir et orgasme comme une longue orgie qui ne terminerait jamais.

Mais tout ceci est trop beau, je le crains, et une vision me tire de mes élans d'amour cosmiques me ramenant à des sentiments plus bas. C'est Vanessa. Elle est là, debout sur la piste avec son blaireau de copain, et elle me rappelle que le diable est encore présent dans ce bas monde. Son regard a croisé le mien et une fraction de seconde plus tard, elle a compris. Déjà, je vois la douleur la traverser. Bien entendu elle n'est pas seule et pourrait potentiellement me faire ressentir la même chose, mais d'une part je la connais bien trop réservée pour s'adonner à ce genre d'ébats en boîte de nuit, et d'autre part dans cet instant précis c'est moi qui domine et elle ne peut rien faire, je sais qu'elle n'arrivera pas à détourner son regard du mien.

Maintenant, je sens le plaisir que je donne à ma partenaire à chaque coup comme autant de souffrance infligée à Vanessa dans le plus profond de ses entrailles. Emporté par cette sauvagerie, je défonce d'autant plus violemment la chienne qui s'agrippe à ma nuque et que j'entends à peine crier à travers la musique devenue comme prophétique. Quand bientôt j'éjacule en elle, c'est comme si toute la tension accumulée pendant ces longs mois de douleur sortait soudain, et pris dans mon délire, je me sens comme si c'était de moi que provenait la mousse, emplissant la salle et noyant Vanessa dans le coup de grâce que je viens de lui infliger.

L'autre chienne s'en est à peine rendu compte, mais elle semble se calmer.

-Bon, on se voit en cours ! Me dit-elle. Et déjà je la vois disparaître dans la masse blanche.

Là je vois qu'en réalité ils ont rallumés le canon à mousse et que c'est pour ça que je ne voyais tout à coup plus les gens sur la piste.

-Sacré trip, me dis-je.

Après avoir retrouvé ma respiration, je repars en apnée de l'autre côté. Là, je retrouve mes potes en train de danser, chauffer des filles ou faisant les psychos avec des bonnets de bain multicolores sur la figure.

-Ah en fait on a vu Vanessa, me dit l'un d'eux, mais elle est déjà partie. Ca vaut mieux comme ça je pense.

En effet, je me demande ce que j'aurais bien pu lui dire après tout ça.

 

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